À peine nommé entraîneur du Real Madrid, Xabi Alonso n’a pas tardé à faire parler de lui. Lors de sa toute première conférence de presse en tant que coach merengue, l’ancien milieu de terrain espagnol a déclenché une vague de réactions en lâchant une phrase qui restera sans doute dans les annales :

“Tant que je serai sur le banc du Real, le Barça ne gagnera pas un seul Clasico.”
Une phrase pleine de confiance, voire d’arrogance, qui a immédiatement enflammé les réseaux sociaux et relancé la rivalité historique entre les deux géants d’Espagne. Mais le plus choquant n’était pas cette menace voilée, c’était bien la manière dont Alonso a évoqué Lamine Yamal, jeune pépite du FC Barcelone, considéré comme l’avenir de la sélection espagnole :

“Yamal ? C’est un gamin, il apprend encore à jouer au football.”
Une déclaration perçue par beaucoup comme un manque total de respect, surtout venant d’un entraîneur fraîchement arrivé à la tête du Real. Certains supporters blaugrana ont même qualifié ces propos de “provocation gratuite” et appellent déjà à une réponse sur le terrain.
Du côté du Barça, aucune réaction officielle n’a encore été formulée, mais selon des sources proches du vestiaire, plusieurs cadres de l’équipe auraient été “extrêmement agacés” par le ton et les insinuations de Xabi Alonso.
Cette sortie médiatique pourrait bien annoncer une ère nouvelle des Clasicos, où la guerre ne se joue pas uniquement sur le rectangle vert mais aussi dans les conférences de presse. Xabi Alonso, connu pour son intelligence tactique, semble également vouloir jouer la carte psychologique dès le début de son mandat.
Le message est clair : il ne veut pas seulement entraîner le Real – il veut dominer.
Mais une question demeure : cette attitude incendiaire va-t-elle motiver les siens ou réveiller un Barça plus dangereux que jamais ? Réponse dès le premier Clasico de la saison.