Le Real Madrid retient son souffle. À seulement quelques jours de l’entrée en lice au Mondial des Clubs contre Al-Hilal, l’un de ses piliers offensifs, Vinicius Junior, a quitté le terrain prématurément lors du match Brésil–Paraguay, suscitant une onde de choc dans les deux camps.

Le jeune prodige, considéré par beaucoup comme l’homme fort d’Ancelotti à Madrid, venait tout juste de marquer le but décisif qui qualifie la Seleção pour la Coupe du monde 2026. Une action éclatante dans la surface, conclue avec sang-froid, marquant le premier but de l’ère Ancelotti à la tête du Brésil. Pourtant, la fête a tourné court…

😟 Une douleur à l’arrière de la cuisse… et une sortie précipitée

D’après les informations de Diario AS, Vinicius a ressenti une douleur soudaine à l’arrière de la cuisse, obligeant le sélectionneur à le remplacer à la 78e minute. Ce changement a jeté un froid sur le banc brésilien, mais c’est à Madrid que les répercussions pourraient être les plus lourdes.

Xabi Alonso, actuel entraîneur du Real Madrid, aurait très mal pris cette blessure, d’autant plus qu’il avait expressément demandé à Ancelotti de ne pas surexposer certains joueurs cadres dans les matchs de qualification “déjà pliés”.

⚡ Alonso–Ancelotti : un désaccord qui couvait ?

Selon des sources proches du club merengue, les tensions entre Alonso et son prédécesseur commencent à se faire sentir. Le jeune coach basque, très à cheval sur la préparation physique, aurait jugé “inacceptable” le temps de jeu accordé à Vinicius dans ce match au rythme intense, surtout à si peu de temps d’une échéance capitale.

😰 Vinicius incertain : le Real en danger contre Al-Hilal ?

Pour l’heure, aucun diagnostic officiel n’a été publié par la fédération brésilienne, mais la prudence est de mise. Si Vinicius venait à manquer la finale du Mondial des Clubs, le Real perdrait son moteur offensif numéro un, et devrait peut-être revoir tout son schéma tactique.

Pendant ce temps, Alonso, déjà en quête d’un nouvel avant-centre, devra trouver une alternative express. Le compte à rebours est lancé. Et à Madrid, l’inquiétude monte d’un cran…