Paris, au bord du chaos. La nouvelle est tombée comme un couperet : la FIFA a confirmé le résultat positif au test antidopage d’Achraf Hakimi, provoquant un véritable cataclysme dans le monde du football. Le latéral droit du PSG, considéré comme l’un des piliers de l’équipe depuis son arrivée, se retrouve désormais au cœur d’un tourbillon judiciaire, médiatique et sportif.

Selon les sources proches du dossier, le contrôle en question aurait été effectué à la suite du quart de finale retour de Ligue des champions, match au cours duquel Hakimi avait été l’un des meilleurs Parisiens sur le terrain. Les substances détectées n’ont pas encore été révélées publiquement, mais les rumeurs parlent d’un stimulant interdit, présent dans un traitement médical mal déclaré. Ce détail ne suffirait cependant pas à écarter une éventuelle suspension.

Mais l’affaire a pris une autre tournure quand Federico Dimarco, latéral de l’Inter Milan, est sorti de son silence. Interrogé par la presse italienne, le joueur a déclaré que “des choses étranges circulaient autour d’Hakimi depuis plusieurs mois”, évoquant un climat de pression et de “mauvaises influences extérieures”. Cette sortie médiatique alimente les théories les plus folles : le joueur aurait-il été piégé ? S’agit-il d’une tentative de déstabilisation ciblée ?

Au PSG, l’ambiance est électrique. Le club a publié un communiqué laconique, affirmant “prendre acte de la décision de la FIFA” tout en réaffirmant son soutien au joueur “tant que la procédure d’appel n’est pas achevée”. Les supporters, eux, oscillent entre colère, incompréhension et désarroi. Certains dénoncent un complot visant les stars africaines du football, d’autres réclament des sanctions rapides et exemplaires.
Si Hakimi est suspendu, cela représenterait un coup dur pour le PSG, qui perdrait non seulement un cadre essentiel mais se retrouverait aussi embarqué dans une crise d’image dont il se serait bien passé. Et si cette affaire n’était que le sommet de l’iceberg ? Le feuilleton ne fait que commencer.