đ„ Une nouvelle affaire secoue le monde du football espagnol. Selon des sources proches du FC Barcelone, le président du Real Madrid, Florentino Pérez, et des hauts responsables de LaLiga auraient exercé des pressions directes sur Nico Williams, la jeune star de l’Athletic Club, afin de l’empêcher de signer avec le Barça.

Ce qui semblait être un simple revirement de dernière minute — la prolongation surprise de Nico jusqu’en 2035 avec l’Athletic — serait en réalité le résultat d’une manœuvre orchestrée en coulisses. Des rumeurs persistantes évoquent des appels téléphoniques “intimidants”, des avertissements déguisés et même des menaces voilées sur l’avenir du joueur s’il décidait de rejoindre la Catalogne.

đ Cette information, initialement révélée par un journaliste indépendant sur les réseaux sociaux, a été partiellement confirmée par plusieurs insiders proches du dossier. « Nico était convaincu par le projet de Xavi puis Hansi Flick. Il avait déjà dit oui verbalement. Et soudain, tout a changé », confie une source anonyme du club blaugrana.

Derrière cette affaire, certains analystes voient un affrontement politique latent entre les deux géants du football espagnol. Le Real Madrid, proche historiquement de certaines instances de LaLiga, n’aurait aucun intérêt à voir un renforcement spectaculaire du Barça sur l’aile gauche, surtout avec un joueur aussi explosif que Nico Williams.
đ« De son côté, LaLiga a rapidement nié toute implication, qualifiant les accusations de “théories du complot sans fondement”. Florentino Pérez, fidèle à sa réputation, est resté silencieux.
Mais le malaise grandit. Plusieurs supporters barcelonais réclament une enquête indépendante pour faire la lumière sur les conditions réelles de l’échec de cette opération. Le joueur, quant à lui, garde le silence total depuis la signature de sa prolongation.
đ€ Cette affaire soulève une question cruciale : jusqu’où certaines forces peuvent-elles aller pour influencer le destin d’un joueur et fausser la concurrence sportive ? Et surtout, le football espagnol est-il encore un terrain de jeu équitable ou un échiquier de pouvoir ?