Ce qui devait être un grand choc footballistique entre le Paris Saint-Germain et le Bayern Munich en quart de finale de la Coupe du Monde des Clubs 2025 s’est transformé en un cauchemar absolu. À la 44e minute de jeu, une scène d’horreur a glacé le sang de tout un stade, des deux équipes, et de millions de spectateurs à travers le monde : Jamal Musiala, le prodige allemand du Bayern, s’effondre au sol après une collision effroyable avec Gianluigi Donnarumma.

Tout part d’un ballon en profondeur dans le dos de la défense parisienne. Musiala, lancé à pleine vitesse, tente de le récupérer dans la surface. Donnarumma, fidèle à son style, sort avec autorité pour couper l’action. Mais l’impact est inévitable. Le genou du portier italien percute la cheville gauche de Musiala, qui se tord de douleur en poussant un cri glaçant.
L’image est insoutenable. La cheville du joueur allemand semble pliée dans un angle totalement anormal, coincée entre le bras et le torse de Donnarumma. Les deux hommes s’écroulent, mais c’est Musiala qui ne se relève pas. Il reste allongé, les mains sur le visage, les jambes figées. Autour de lui, le temps semble suspendu.
Mais ce qui bouleverse tout le monde, c’est la réaction de Donnarumma. Le gardien italien comprend immédiatement la gravité de la situation. Il s’agenouille, se prend la tête dans les mains… et fond littéralement en larmes. Ses coéquipiers accourent pour le consoler, tandis que les joueurs bavarois, paniqués, hèlent les secours.
Harry Kane, Kimmich, Coman, Olise… tous détournent le regard, certains s’asseyent sur le gazon, abasourdis. Le silence règne dans le stade, interrompu uniquement par les consignes précipitées de l’équipe médicale. Les soigneurs du Bayern, puis du PSG, interviennent ensemble. L’ambulance entre sur la pelouse. Musiala est immobilisé, sa jambe gauche maintenue dans une attelle.
La chaîne DAZN, qui diffusait le match, décide de ne pas rediffuser les images. Les caméras se tournent vers le public et les entraîneurs, pendant que le staff médical s’affaire dans l’ombre. Une décision rare, mais compréhensible au vu de la violence de la scène.
Quelques instants plus tard, le Bayern publie un message officiel sur ses réseaux sociaux :
“Jamal Musiala a quitté le terrain sur civière suite à une grave blessure. Le club est à ses côtés. Force à toi, Jamal.”
Selon les premières estimations médicales, la blessure toucherait la partie inférieure de la jambe : soit la cheville, le tendon d’Achille, soit les os du tibia et du péroné. Le club n’a pas encore donné de diagnostic précis, mais si une fracture complète est confirmée, l’absence pourrait durer entre 6 à 12 mois, voire plus.
Dans les couloirs du stade, Donnarumma est resté prostré pendant la mi-temps. Plusieurs coéquipiers l’ont réconforté, lui répétant qu’il ne pouvait rien faire pour éviter l’impact. Mais le portier italien, profondément affecté, n’est pas revenu en deuxième mi-temps. Luis Enrique a fait entrer Arnau Tenas, laissant son gardien titulaire en état de choc.
Le match, bien que terminé sur une victoire parisienne (2-1), est passé au second plan. Plus personne ne parlait du score ou de la qualification, mais uniquement de l’état de santé de Musiala et de l’émotion brute vécue par Donnarumma. Les réactions pleuvent depuis : anciens joueurs, entraîneurs, journalistes… tous saluent la dignité des deux hommes face à ce drame.
Ce quart de finale devait écrire une page sportive. Il est devenu une leçon d’humanité et de solidarité, dans la douleur. Le football attend désormais des nouvelles rassurantes de Jamal Musiala, l’un de ses joyaux les plus brillants, désormais suspendu à un fil.