Le 23 septembre restera comme une nuit de feu et de controverse dans l’histoire du Ballon d’Or. Alors que France Football proclamait Ousmane Dembélé vainqueur de l’édition 2025, la planète football a été secouée non pas seulement par ce résultat inattendu, mais surtout par la position finale de deux joyaux de la Liga : Pedri et Vinicius Junior.

Pedri, considéré par beaucoup comme le cerveau du FC Barcelone et l’un des milieux les plus raffinés de sa génération, a terminé à une surprenante 11e place. Un coup dur, certes, mais compréhensible dans un classement où la concurrence reste féroce. Pourtant, le véritable séisme est venu du côté de Madrid : Vinicius, finaliste du Ballon d’Or 2024, idole du Santiago Bernabéu et acteur clé du parcours triomphal du Real en Liga et en Ligue des champions, s’est retrouvé… bien plus bas. Trop bas pour être simplement le fruit d’un vote neutre.

Officiellement, le Brésilien aurait terminé 16e. Mais selon une fuite révélée par un membre anonyme du comité de sélection — fuite que nous n’avons pu vérifier, mais qui circule déjà sur les réseaux sociaux espagnols et brésiliens — son dossier aurait d’abord été placé dans le top 8 par plusieurs jurés, avant d’être mystérieusement “corrigé” lors de la dernière synthèse des votes. Une “rectification” qui, selon certains observateurs, ressemble à une manœuvre politique plus qu’à un ajustement technique.

Les chiffres, pourtant, parlent pour lui : 11 buts et 8 passes décisives en 30 matchs de Liga, sans compter ses éclairs en Ligue des champions où son duo avec Bellingham avait terrorisé l’Europe. Comment un tel rendement peut-il justifier une chute libre du podium de 2024 au 16e rang en 2025 ?
Au Camp Nou, la déception de Pedri a été atténuée par l’ivresse du triplé domestique. Mais même en terminant 11e, le Canarien est resté digne et silencieux. À l’inverse, du côté madrilène, le camp Vinicius bouillonne. Selon Marca, l’entourage du joueur considère cette “humiliation” comme une attaque contre l’image du Real Madrid et du football espagnol dans son ensemble. Pire encore : un tweet furtif — supprimé quelques minutes après sa publication — de l’un des collaborateurs de Florentino Pérez laisse entendre que “certains résultats ont été décidés avant même que les enveloppes ne soient ouvertes”.
La rumeur enflamme les réseaux : et si le Ballon d’Or 2025 avait été le théâtre de pressions occultes ? Une hypothèse jugée “ridicule” par France Football, qui a publié un communiqué laconique dans la foulée, insistant sur “la transparence totale du processus de vote”. Mais pour beaucoup, le mal est fait. Les hashtags #JusticeForVini et #BallondOrManipulé sont rapidement devenus viraux, illustrant la fracture entre l’institution parisienne et les supporters, notamment en Espagne et au Brésil.
Et puis, il y a ce détail troublant. Plusieurs journalistes présents à la cérémonie affirment avoir aperçu, dans les coulisses, une feuille partiellement froissée où apparaissaient deux colonnes de votes contradictoires. Un témoin oculaire, sous couvert d’anonymat, assure que la première version plaçait Vinicius à la 9e place. Comment est-il passé à la 16e ? Personne ne semble en mesure de répondre.
Alors que Dembélé savoure son triomphe, une ombre plane désormais sur son Ballon d’Or : celui d’une soirée où deux des visages les plus brillants de la Liga ont été relégués en marge. Pedri pourra encore rêver d’avenir. Mais pour Vinicius, cette “descente forcée” pourrait bien marquer un tournant, non seulement dans sa relation avec le Ballon d’Or, mais aussi dans son rapport à l’institution européenne du football.
Un scandale en bonne et due forme, ou une simple tempête médiatique alimentée par des fans déçus ? Quoi qu’il en soit, Paris n’a pas fini de trembler. Et l’histoire du Ballon d’Or 2025 restera entachée par un parfum de manipulation…