La colère gronde à Paris. À quelques jours de l’affiche amicale la plus attendue de l’été entre le Paris Saint-Germain et l’Inter Miami, un coup de tonnerre a secoué le camp parisien : Ousmane Dembélé, remis de sa blessure et prêt à jouer, ne pourra pas fouler la pelouse suite à une décision aussi brutale qu’incompréhensible de la FIFA.

Le PSG, médusé par cette annonce, n’a pas tardé à réagir. Selon des sources proches du club, Luis Enrique est entré dans une colère noire en apprenant que son ailier vedette ne serait pas autorisé à jouer, alors même qu’il a reçu le feu vert médical. L’entraîneur espagnol aurait même remis en cause la crédibilité des instances internationales, accusant une forme de favoritisme flagrant :
« Ils font tout pour que Messi gagne, c’est évident. On ne peut plus parler de sport, c’est une mascarade. »
Un parfum de manipulation
La décision de la FIFA a été annoncée par un simple communiqué, évoquant des « considérations réglementaires liées à l’éligibilité post-blessure », sans aucune précision supplémentaire. Une explication jugée grotesque par le PSG, qui souligne que tous les tests médicaux ont été passés avec succès par Dembélé et que la LFP ainsi que le staff médical de la FIFA locale ont donné leur accord.
La théorie du complot Messi
Il n’en fallait pas plus pour relancer les accusations récurrentes de favoritisme envers Lionel Messi. Depuis son arrivée à l’Inter Miami, plusieurs voix s’élèvent dans le monde du football pour dénoncer un traitement de faveur quasi-systématique du champion argentin. Cette nouvelle affaire ne fait qu’ajouter de l’huile sur le feu.
Sur les réseaux sociaux, les hashtags #FIFAProMessi et #JusticePourDembélé explosent. Les supporters du PSG dénoncent une « manipulation honteuse » pour s’assurer que la star argentine ne soit pas éclipsée par un Dembélé étincelant, lui qui avait brillé en fin de saison dernière.
Un PSG en guerre contre la FIFA ?
Selon Le Parisien, le club envisagerait de saisir un avocat international pour contester cette décision devant le TAS, tandis que Luis Enrique aurait même menacé de boycotter les futures conférences de presse de la FIFA si une explication publique et crédible n’était pas fournie dans les 48h.
« Ce n’est pas juste une décision sportive, c’est une atteinte à l’intégrité du jeu, » confie une source interne du club.
« On veut juste que nos joueurs aient les mêmes droits que les autres. Aujourd’hui, on a l’impression que Messi joue avec un bouclier d’invincibilité offert par les instances. »
Et maintenant ?
Le match PSG – Inter Miami, censé n’être qu’un événement promotionnel, se transforme en véritable terrain de tension diplomatique et médiatique. D’un simple forfait de joueur, l’affaire prend une tournure explosive, remettant en cause la neutralité de la FIFA.
Le dernier mot n’a sûrement pas été dit. Et à ce rythme, ce n’est plus un match amical, mais un affrontement idéologique sur fond de favoritisme, de pouvoir et de manipulation médiatique.
Affaire à suivre..