C’est une bombe qui secoue le football espagnol ! LaLiga a frappé un grand coup en interdisant l’inscription de Roony Bardghji avec le Barça Atlètic. Le jeune crack, censé suivre une adaptation progressive, est désormais contraint d’intégrer l’équipe première de Barcelone. Pour le club catalan, déjà confronté à des restrictions économiques et salariales, cette décision est un véritable casse-tête.

Mais ce qui choque encore plus, c’est le traitement réservé au Real Madrid. En parallèle, Franco Mastantuono, prodige argentin acheté pour 60 millions d’euros, a été enregistré… avec le Real Madrid Castilla ! Autrement dit, le club merengue bénéficie d’une flexibilité refusée à son éternel rival.

La colère est immense au Camp Nou. Joan Laporta, furieux, a dénoncé « une injustice flagrante et une démonstration claire de favoritisme ». Selon lui, il est inacceptable que deux clubs soumis aux mêmes règlements soient traités de manière aussi inégale. Le président du Barça a promis de « porter l’affaire devant toutes les instances nécessaires ».

Dans les vestiaires, l’incompréhension règne. Les joueurs et le staff technique s’interrogent : pourquoi deux standards ? Pourquoi Barcelone se voit-il systématiquement imposer des obstacles administratifs ?
Du côté des supporters, la frustration explose. Sur Twitter, certains parlent d’un « complot » contre le Barça. D’autres estiment que cette décision n’est qu’un nouvel épisode d’une guerre politique entre Barcelone et les institutions madrilènes.
Cette controverse dépasse largement le cas Bardghji. Elle met en lumière une fracture grandissante au sein du football espagnol, où l’ombre du favoritisme plane sur chaque décision. Une chose est sûre : le climat autour de LaLiga devient de plus en plus explosif, et cette affaire risque de laisser des traces durables.