Ce qui semblait n’être qu’une rumeur de plus dans le tumulte du mercato estival s’est transformé en un véritable séisme en coulisses : selon nos informations exclusives, le Paris Saint-Germain aurait secrètement recruté un conseiller “d’origine nordique”, uniquement chargé d’approcher la famille d’Alexander Isak. Un profil discret, polyglotte, spécialisé dans la psychologie familiale et les négociations culturelles, chargé d’une seule mission : séduire le clan Isak… et le détacher définitivement de Liverpool.

Tout commence il y a plusieurs semaines, lorsque Luis Campos, toujours à l’affût des talents rares, identifie Isak comme le chaînon manquant du projet parisien. Kylian Mbappé parti, Gonçalo Ramos incertain, et la piste Rafael Leão jugée trop coûteuse, une obsession naît en interne : trouver “le nouveau Haaland”, un buteur longiligne, rapide, clinique… et surtout malléable. Alexander Isak, 25 ans, en pleine explosion à Newcastle, coche toutes les cases.
Mais il y a un hic. Liverpool est déjà sur le dossier, avec un projet sportif plus stable, une tradition scandinave historique, et un coach en qui Isak voue une réelle admiration : Jürgen Klopp. Impossible donc pour Paris de gagner ce duel à la loyale. C’est là qu’intervient l’élément déclencheur : un consultant norvégien, proche du football suédois, et surtout… intime de la famille Isak depuis l’adolescence du joueur.

Cet homme – dont l’identité reste confidentielle – aurait été mandaté discrètement par le PSG pour établir un lien de confiance avec les parents d’Isak, en jouant sur la carte affective, culturelle et… familiale. Promesses de stabilité, discours sur la “renaissance nordique” du PSG autour d’un projet humaniste, et surtout un engagement précis : bâtir l’attaque du club autour d’Alexander Isak, lui donner le numéro 9, et en faire le visage d’un Paris post-Mbappé.
« Le discours était clair : il ne s’agit pas d’un transfert, mais d’une mission. Paris veut qu’Isak devienne une icône, une légende. On lui a promis qu’il serait traité comme Haaland à Manchester City », confie une source proche du dossier.
Liverpool, alerté tardivement de cette stratégie parallèle, aurait tenté de réagir. Mais selon les mêmes sources, le clan Isak aurait été “touché” par l’approche parisienne, jugée plus humaine, plus intime, moins “business”. Les négociations s’accélèrent, et un contrat de 5 ans, avec un salaire net de 9 millions d’euros par an, serait déjà prêt à être signé.
Mais ce qui choque, ce n’est pas la somme ou le projet sportif, mais les moyens e
mployés. Certains membres de la direction de Newcastle, mis devant le fait accompli, auraient dénoncé une “opération d’influence à la limite de l’éthique”, accusant le PSG de manipuler les émotions familiales pour parvenir à ses fins.
Le transfert n’est pas encore officiel, mais tout indique que Paris est en passe de réussir un coup magistral… et potentiellement polémique. Reste à savoir si cette stratégie d’infiltration émotionnelle ne laissera pas des traces durables dans l’image d’un club déjà souvent critiqué pour ses méthodes.