COUP DE TONNERRE DANS LE FOOT MONDIAL ! Lamine Yamal officiellement privé de Coupe du monde 2026, une décision choquante des hautes sphères fait trembler le Barça et l’Espagne entière — et dans le même temps, La Roja menace carrément de boycotter le tournoi si Israël est autorisé à participer. Entre jeux de pouvoir, pressions politiques et révélations médiatiques explosives, l’affaire devient un séisme planétaire.

Depuis quelques jours, le football vit une véritable tempête. Le 17 septembre au soir, la nouvelle est tombée : Lamine Yamal, le prodige du FC Barcelone à peine âgé de 18 ans, ne disputera pas le Mondial 2026. Une décision venue directement de la haute direction sportive espagnole et relayée par des sources proches de la Fédération. L’annonce a déclenché une onde de choc : les supporters du Barça crient au scandale, certains dénonçant une manœuvre politique, tandis qu’un entraîneur renommé, cité anonymement par El Mundo Deportivo, affirme que « l’argent et le pouvoir ont encore une fois écrasé le mérite sportif ».

Ce coup de massue pour Yamal n’arrive pas seul. Car, presque au même moment, un autre dossier brûlant s’est ouvert : la menace d’un boycott de la Coupe du monde par l’Espagne elle-même. Selon plusieurs médias, le gouvernement espagnol envisage sérieusement de retirer La Roja du tournoi prévu aux États-Unis, au Mexique et au Canada si l’équipe d’Israël obtient son billet pour la phase finale.

👉 Un double séisme donc : la pépite du Barça privée de sa première Coupe du monde, et l’une des sélections favorites (championne du monde 2010, demi-finaliste de l’Euro 2024) qui pourrait boycotter purement et simplement la compétition.

Le Premier ministre Pedro Sánchez a mis le feu aux poudres en déclarant publiquement que « le sport ne peut pas fermer les yeux sur la réalité », appelant la FIFA à traiter Israël comme la Russie, exclue des compétitions internationales après l’invasion de l’Ukraine. Dans la foulée, Pilar Alegría, la ministre des Sports, a enfoncé le clou : « Le football ne peut pas être une île isolée du monde réel, surtout quand les droits de l’Homme sont piétinés. »

Cette prise de position politique s’est immédiatement répercutée dans le vestiaire espagnol. Un cadre de La Roja, sous couvert d’anonymat, aurait confié à Marca : « Nous voulons jouer le Mondial, c’est le rêve de toute une carrière. Mais si le gouvernement nous retire, que pouvons-nous faire ? » Sur les réseaux sociaux, les fans se divisent : certains soutiennent fermement le boycott, d’autres accusent les politiques de sacrifier la carrière des joueurs.

Pendant ce temps, à Barcelone, le cas Yamal fait toujours jaser. Officiellement, les raisons avancées sont « stratégiques » : protéger la pépite d’une pression trop grande et préparer son développement à long terme. Mais la presse espagnole va beaucoup plus loin. AS avance que des tensions entre Joan Laporta et certains décideurs proches du gouvernement pourraient avoir précipité cette mise à l’écart, une sorte de règlement de comptes où le nom de Messi aurait même été évoqué en coulisses comme une carte électorale contre Laporta dans la future présidence du club catalan.

Les comparaisons fusent : Messi avait été soutenu à tout prix pour le Mondial 2006 alors qu’il n’avait que 18 ans, pourquoi pas Yamal aujourd’hui ? « C’est une trahison envers le nouveau Messi », écrivent de nombreux internautes, furieux.

Et le timing rend l’affaire encore plus explosive. Si Israël se qualifie, et que l’Espagne se retire réellement, le Mondial 2026 pourrait perdre deux de ses plus grandes attractions : la pépite Yamal et une sélection historique. Une véritable catastrophe pour l’image de la FIFA, déjà critiquée pour sa gestion des cas politiques.

Entre les millions d’euros de droits TV, les sponsors internationaux, et la pression des fans, l’instance dirigeante du football mondial se retrouve dans une situation intenable. Un dirigeant d’un grand diffuseur a même lâché, selon The Guardian : « Sans l’Espagne et sans Yamal, l’audience en Europe s’effondrerait. »

Alors que la FIFA tente de calmer le jeu, le camp Yamal reste silencieux. Ses proches, interrogés, se contentent de dire que le joueur est « abattu mais déterminé à prouver sa valeur sur le terrain avec le Barça ». Un signe que, malgré la tempête, la jeune star ne compte pas lâcher prise.

En conclusion, le football se retrouve face à un mélange explosif : une star montante sacrifiée par décision politique, une sélection légendaire qui menace de boycotter, et un Mondial 2026 déjà menacé d’un déficit de prestige avant même de commencer. Pour beaucoup, cette double affaire est la preuve ultime que le football moderne n’est plus seulement une question de talent ou de passion, mais surtout de pouvoir et d’intérêts.

👉 Une chose est sûre : entre Yamal et l’Espagne, les prochains jours s’annoncent décisifs… et peut-être historiques.