Le feuilleton autour de Lamine Yamal n’en finit pas de secouer l’Espagne. À seulement 18 ans, le prodige du FC Barcelone pensait vivre son premier grand amour aux yeux du monde entier. Il avait officialisé sa relation avec la chanteuse argentine Nicki Nicole il y a à peine deux semaines, partageant photos et instants intimes sur ses réseaux sociaux. Mais treize jours plus tard, tout s’est effondré dans un fracas médiatique.
Selon Olé, Nicki Nicole aurait trompé Yamal avec Franco Mastantuono, le nouveau joyau de 18 ans fraîchement débarqué au Real Madrid. Une révélation qui a immédiatement enflammé les réseaux sociaux et attisé la rivalité éternelle entre le Barça et le Real. Le destin cruel a voulu que le “troisième homme” soit non seulement argentin comme Nicole, mais aussi l’une des plus grandes promesses de l’ennemi juré du Barça.
Les signes avant-coureurs étaient pourtant visibles. En début de semaine, Yamal a brusquement effacé toutes les photos de sa compagne de son compte Instagram. Pour beaucoup, ce fut la confirmation d’une rupture. “C’est une trahison publique, et la pire des humiliations pour un joueur qui voulait montrer qu’il était adulte et stable”, a commenté un proche du vestiaire blaugrana cité par El Canciller.
L’affaire a pris une tournure encore plus dramatique lorsque Mastantuono, déjà très populaire auprès des supporters madrilènes, a été aperçu dans un restaurant huppé de Madrid en compagnie de la chanteuse. Les clichés ont circulé à une vitesse fulgurante, provoquant une avalanche de réactions ironiques et de mèmes moqueurs ciblant Yamal.
Mais ce qui a véritablement surpris, c’est l’attitude de Robert Lewandowski. Selon des sources proches du vestiaire catalan, le vétéran polonais aurait pris Yamal à part à l’entraînement. Loin de se contenter d’un simple mot de réconfort, Lewandowski lui aurait lancé une mise en garde dure mais sincère : “Tu es en train de laisser ta vie privée dévorer ta carrière. Si tu ne te concentres pas sur le terrain, tu seras avalé par la pression et oublié en un instant.”
Ces mots, rapportés par la presse catalane, ont fait l’effet d’une douche froide. Car Lewandowski sait de quoi il parle : il a traversé, lui aussi, des tempêtes médiatiques en Allemagne et en Pologne. Mais il a toujours réussi à garder le cap, multipliant les titres et records. Son intervention est interprétée comme un rappel brutal à l’ordre, mais aussi comme une preuve de leadership dans un Barça en reconstruction.
La situation est d’autant plus explosive que Yamal était censé devenir l’image de l’avenir blaugrana, la pépite sur laquelle Xavi d’abord, puis Flick maintenant, ont choisi de bâtir leur projet. Voir son nom associé à des scandales amoureux, à des rumeurs de “cocu” et à une rivalité sentimentale avec un joueur du Real est un cauchemar pour les dirigeants du club.
Et pourtant, le drame passionne. Sur TikTok et Instagram, le hashtag #YamalGate a dépassé le million de vues en 24 heures. Les fans madrilènes jubilent, les supporters du Barça se divisent entre ceux qui le défendent et ceux qui le critiquent pour avoir exposé trop vite sa vie privée.
Ce qui est certain, c’est que Yamal vient d’apprendre une leçon douloureuse : dans le football moderne, la frontière entre la gloire sportive et le drame personnel est plus fine que jamais. Et si Lewandowski a choisi de parler, c’est peut-être pour lui éviter que ce premier “coup de foudre” ne laisse une cicatrice indélébile sur une carrière qui ne fait que commencer.
👀 Vinicius n’a pas manqué l’occasion de réagir à sa manière. Depuis les réseaux sociaux, le Brésilien a publié une story avec un émoji malicieux 😏, laissant entendre qu’il suivait le feuilleton de très près. Entre les lignes, ses followers ont immédiatement compris le petit message : un clin d’œil amusé à la situation embarrassante de Yamal, mais sans jamais nommer directement la chanteuse ou Mastantuono. Les fans madrilènes se sont empressés de liker et de partager, transformant la story en viral instantané, tandis que les supporters du Barça oscillent entre irritation et amusement. Avec ce petit geste, Vinicius ajoute une couche de drama supplémentaire : il joue sur la frontière entre taquinerie et provocation, rappelant subtilement que, dans le football, même les affaires de cœur des adversaires deviennent un spectacle public.