Dans le tumulte du mercato estival, certains mots résonnent plus fort que d’autres. Et ceux de Rodrygo Goes n’ont pas laissé indifférent :

« Je ne quitterai le Real que pour un club de très haut niveau. Ce n’est pas Liverpool. »
Une phrase simple, mais lourde de sens. Car en écartant aussi froidement Tottenham et Liverpool, deux clubs pourtant ambitieux, Rodrygo envoie un message clair : s’il devait un jour tourner le dos au Santiago Bernabéu, ce ne serait pas pour n’importe quelle destination.

Mais alors, quel est ce club « à la hauteur » qu’il évoque ?
Selon plusieurs sources proches du joueur, la réponse pourrait bien surprendre tout le monde. En effet, le Brésilien rêverait, en secret, d’un jour enfiler le maillot du FC Barcelone.
Une admiration de jeunesse
Avant même de rejoindre le Real Madrid en 2019, Rodrygo était un jeune fan du football espagnol. Et s’il a toujours professé son respect pour les Blancos, ce serait bien le jeu du Barça qui l’aurait marqué le plus profondément, notamment l’ère Guardiola, le duo Xavi-Iniesta, et bien sûr… Lionel Messi.
Un ancien entraîneur de Rodrygo au Brésil confie :
« Quand il était adolescent, il adorait regarder les vidéos du Barça. Il me disait souvent : ‘Un jour, j’aimerais jouer comme eux’. Ce n’était pas une simple admiration, c’était un idéal de jeu. »
Une idée impossible… pour l’instant
Imaginer Rodrygo sous le maillot blaugrana semble aujourd’hui totalement utopique. Il est l’un des visages du projet madrilène, encore sous contrat, et très lié à l’image du club. Et pourtant, dans un football où tout change si vite, le rêve le plus fou d’un joueur peut parfois devenir réalité.
Le FC Barcelone, en quête d’un ailier capable d’alterner percussion et intelligence de jeu, suit de nombreux profils. Et bien que Rodrygo ne soit pas une cible officielle, la simple idée qu’il pense secrètement à Barcelone pourrait semer des doutes du côté de Madrid.
Car parfois, ce ne sont pas les paroles publiques, mais les rêves tus, qui dessinent les vraies trajectoires du football moderne.