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Alors que le FC Barcelone traverse une tempête interne aux allures de guerre froide, le Paris Saint-Germain aurait flairé l’ouverture idéale pour frapper un grand coup sur le marché. L’objet de toutes les convoitises ? Nico Williams, l’ailier explosif de l’Athletic Club, récemment entré en conflit direct avec la direction blaugrana avant même d’avoir signé.

🔥 Une exigence de trop… et un revirement immédiat
Selon plusieurs médias proches du club catalan, Nico Williams, dont la signature semblait quasiment actée avec le Barça, aurait posé une condition inattendue : le départ de deux cadres de l’équipe première, sans que leurs noms ne soient confirmés. Une demande jugée “inacceptable” en interne, qui a provoqué un tollé. Résultat ? L’opération aurait été immédiatement mise en pause, voire annulée.

🧠 Luis Campos entre en scène, Paris en embuscade
Mais ce que Barcelone voit comme une impasse, Paris y voit une opportunité en or. D’après nos informations, Luis Campos aurait immédiatement relancé les contacts avec l’entourage du joueur. Le PSG, toujours à la recherche d’un ailier dynamique pour compléter son attaque post-Mbappé, voit en Nico Williams le profil idéal pour incarner la nouvelle ère parisienne : jeune, explosif, sans attaches catalanes profondes.

🤫 Laporta et Flick se murent dans le silence… mais l’ambiance est toxique
Joan Laporta refuse de commenter l’affaire. Hansi Flick, tout juste arrivé, aurait quant à lui été “très agacé” par les exigences de Williams, alors qu’il n’a même pas encore dirigé une seule séance d’entraînement. Lewandowski, quant à lui, serait l’un des cadres visés par la volonté d’éviction du joueur basque, alimentant encore davantage la tension au sein du vestiaire.

💥 Paris prêt à dégainer une offre immédiate
Conscient que le dossier peut basculer à tout moment, le PSG préparerait une offre directe à l’Athletic Bilbao, sans passer par Barcelone. Le club espagnol réclame 50 à 60 millions d’euros, mais Paris serait prêt à payer cash pour coiffer le Barça au poteau et humilier son rival européen… une fois de plus.