L’affaire fait grand bruit en Angleterre : Thomas Partey, milieu de terrain d’Arsenal, fait face à de nouvelles accusations de viol dans le cadre d’une enquête relancée par les autorités judiciaires. Alors que l’information commence à se répandre dans les médias britanniques, le club d’Arsenal, lui, reste étrangement muet.

🧱 Un mutisme jugé “irresponsable” par l’opinion
Depuis la révélation des nouvelles pièces versées au dossier, de nombreuses personnalités du monde du football, mais aussi des associations de défense des droits des femmes, ont interpellé le club londonien pour qu’il prenne position. En vain.

« Nous ne commenterons pas une affaire en cours d’investigation. »
– communiqué bref et sec du service presse d’Arsenal, publié en milieu de matinée ce 5 juillet.
Une déclaration qui a choqué, notamment sur les réseaux sociaux, où des hashtags comme #ArsenalOut ou #ParteyCase ont rapidement commencé à circuler.
⚖️ Une défense déjà active du côté de Partey
Face au silence du club, c’est l’avocat de Thomas Partey qui est monté au créneau, qualifiant les accusations de « non fondées et déjà classées dans une première procédure ». Il affirme que son client est victime d’un « acharnement médiatique sans base légale réelle ».
Toutefois, de nouvelles informations apparues dans la presse, y compris des extraits de témoignages révisés, auraient incité les autorités à rouvrir partiellement le dossier.
🧠 Le dilemme moral d’Arsenal
Ce mutisme suscite de nombreuses interrogations sur la position éthique du club, notamment dans un contexte où la Premier League tente d’améliorer son image en matière de comportement des joueurs.
« Ce n’est pas qu’un problème juridique, c’est une question de responsabilité sociale. Le silence d’Arsenal est inquiétant. »
– analyse d’un chroniqueur de The Guardian.
🎯 Et maintenant ?
À l’heure actuelle, Thomas Partey n’est ni suspendu ni écarté du groupe professionnel, et il est même attendu à la reprise de la préparation estivale. Une décision qui risque d’exacerber encore plus la division parmi les supporters, entre présomption d’innocence et pression morale.