Florentino Perez a-t-il franchi une ligne rouge ? À la surprise générale, le président du Real Madrid aurait exprimé le désir personnel de désigner lui-même le prochain capitaine du club — une démarche rarissime, voire inédite, dans l’histoire moderne des Merengue.

Et le nom qui circule en interne a déjà fait grincer des dents : Antonio Rüdiger.
Oui, le défenseur allemand, arrivé en 2022, pourrait succéder à des figures emblématiques comme Modric ou Nacho… sans même passer par un vote des joueurs.
Mais c’est surtout la réaction de Xabi Alonso, tout juste nommé à la tête de l’équipe première, qui a retourné les bureaux de Valdebebas.
💬 “Ce n’est pas ainsi qu’on construit une équipe unie.” — neuf mots, balancés froidement, qui auraient suffi à glacer l’ambiance d’une réunion confidentielle entre Perez et son staff.

Rüdiger : un “capitaine officieux” déjà bien installé ?
Il faut dire que Rüdiger ne cesse de monter en grade dans la hiérarchie madrilène. Non seulement son contrat a été prolongé discrètement avant celui de Vinicius ou Valverde, mais des clauses étonnantes auraient été négociées :
-
Une prime annuelle de leadership, indexée sur les clean sheets.
-
Un droit de véto officieux sur certains profils défensifs à recruter.
-
Et même l’accès illimité au centre d’entraînement, 24h/24, un privilège jamais accordé auparavant.
Un cadre du club le décrit comme le “commandant silencieux” : “Quand il parle, même les anciens se taisent. Il impose par le regard.”
Un choix stratégique ou une provocation ?
Ce geste de Perez — court-circuiter l’avis du coach et du vestiaire — est perçu par certains comme une déclaration de pouvoir brutale, à l’ancienne.
🎙️ “C’est plus qu’une décision sportive. C’est un message politique,” souffle un proche du vestiaire.
Vinicius, pourtant figure offensive et icône marketing, attend toujours la prolongation annoncée depuis des mois. Federico Valverde, pilier du milieu, n’a même pas été mentionné dans les discussions sur le capitanat.
L’unité du vestiaire en jeu ?
Le silence de Xabi Alonso depuis cette “réunion à froid” intrigue. Certains journalistes proches du club affirment qu’il aurait refusé de valider officiellement le choix de Perez, par souci “d’équilibre de groupe”.
🧨 Une fracture est-elle en train de naître au sein même du Real, à quelques mois d’une saison charnière post-Modric ?
La tension est palpable. Et une seule certitude règne à Valdebebas : ce n’est que le début.