PEDRI DÉNONCE L’ARBITRAGE APRÈS LA DÉFAITE FACE À L’INTER : « ON A JOUÉ DANS L’OMBRE, ILS ÉTAIENT 12 SUR LE TERRAIN ! »

La demi-finale de Ligue des Champions entre le FC Barcelone et l’Inter Milan a pris une tournure explosive bien au-delà du terrain. Si le résultat a été en faveur des Nerazzurri, les projecteurs se sont rapidement tournés vers une série de décisions arbitrales controversées qui ont profondément irrité les Blaugranas – et en particulier leur jeune star Pedri.

À la fin du match, le milieu de terrain espagnol n’a pas mâché ses mots. Visiblement hors de lui, Pedri a lancé une accusation directe et troublante :
« L’Inter a joué avec 12 hommes, tandis que nous avons dû nous battre dans l’ombre. »
Une déclaration choc qui résume bien le sentiment d’injustice ressenti dans les rangs catalans.

Mais il ne s’est pas arrêté là. En conférence de presse, Pedri a poursuivi :
« L’arbitre ? L’UEFA devrait se pencher sérieusement sur cette affaire. Ce n’est pas la première fois que cela arrive avec lui. Il y a des choses que je ne comprends pas. »
Selon plusieurs observateurs, certaines décisions cruciales de l’arbitre ont clairement tourné en faveur de l’Inter : fautes non sifflées, cartons discutables, et surtout un penalty refusé au Barça dans un moment clé du match. Ce genre de “détails” a contribué à alimenter la frustration de l’équipe espagnole.
Sur les réseaux sociaux, les supporters se sont rapidement enflammés. Le hashtag #UCLRigged (Ligue des Champions truquée) est même monté en tendance mondiale quelques heures après la rencontre. Pour beaucoup, le match aurait été faussé, volontairement ou non, par un arbitrage jugé « à sens unique ».
Du côté de l’UEFA, aucune déclaration officielle n’a encore été faite. Mais les propos de Pedri, aussi virulents soient-ils, posent une question plus large sur la transparence et la qualité de l’arbitrage dans les grandes compétitions européennes. Les appels à l’utilisation élargie de la VAR ou à une révision des procédures de désignation des arbitres se font de plus en plus insistants.
Si l’Inter Milan peut savourer sa qualification, le FC Barcelone, lui, quitte la compétition avec un goût amer… et une colère qui ne risque pas de retomber de sitôt.