Barcelone – À seulement 17 ans et déjà reconnu comme l’un des joueurs les plus prometteurs du FC Barcelone, Pau Cubarsí a décidé de dépasser le stade du football et de se consacrer pleinement à une cause bien particulière : les animaux. Le jeune défenseur catalan a annoncé la création de « Dogtopia », un immense centre de 15 hectares dédié au sauvetage et à la réhabilitation des chiens maltraités, abandonnés ou traumatisés, situé en périphérie de Barcelone.

Avec un investissement personnel de 5 millions de dollars, Cubarsí démontre que son engagement envers la société va au-delà du simple sport. Selon ses propres termes :

« Les chiens ne sont pas de simples animaux de compagnie. Ils font partie de la famille. Ils méritent dignité, soins et amour.»

Dogtopia ne sera pas un refuge comme les autres. Les installations, actuellement en construction et dont l’ouverture est prévue d’ici la fin de l’année, comprendront :
Des terrains d’entraînement et de socialisation
Des espaces de jeux aquatiques et de loisirs
Une clinique vétérinaire ouverte 24h/24 et 7j/7
Des espaces de thérapie et de bien-être émotionnel pour les animaux
Des programmes d’adoption supervisée et de réinsertion familiale
De plus, Cubarsí prévoit de collaborer avec des écoles, des refuges et des centres de santé afin de favoriser l’empathie et l’éducation aux soins animaliers dès le plus jeune âge.
L’initiative a suscité un vif soutien sur les réseaux sociaux, où des milliers de fans, de passionnés d’animaux et de coéquipiers ont salué le projet. Même des personnalités sportives comme Pedri et Alexia Putellas ont partagé des publications exprimant leur enthousiasme pour l’idée.
Le jeune défenseur espère que Dogtopia deviendra non seulement un refuge modèle en Espagne, mais qu’il inspirera également d’autres athlètes et personnalités publiques à s’impliquer activement dans des causes sociales et environnementales.
đŸ « Le football m’a tant apporté. C’est une façon de rendre un peu de cet amour à ceux qui ne peuvent pas demander de l’aide avec des mots, mais qui le peuvent avec un regard », conclut Pau Cubarsí avec émotion.
Une histoire de football, de cœur… et d’aboiements joyeux.