La tension monte dans les coulisses du Parc des Princes. À l’aube d’une nouvelle saison, Gianluigi Donnarumma plonge le PSG dans l’incertitude totale. Le gardien italien, sous contrat jusqu’en 2026, refuse catégoriquement toutes les propositions de prolongation soumises par le club de la capitale. En cause ? L’argent. Toujours plus d’argent.

Alors qu’il perçoit déjà un salaire annuel estimé à 12 millions d’euros, Donnarumma rejette l’idée d’un contrat indexé sur les performances, comme le propose Luis Campos pour aligner la masse salariale avec la stratégie du club. L’Italien, lui, campe sur ses positions : pas de réduction, pas de bonus variables, uniquement du fixe – et du lourd.

Une posture qui agace profondément la direction parisienne, qui commence à envisager sérieusement un scénario catastrophe : perdre Donnarumma libre à l’été 2026, sans la moindre compensation. Pour éviter ce désastre économique, Campos prépare déjà le plan B.

👉 En haut de la liste ? Diogo Costa, le talentueux gardien du FC Porto. Ciblé de longue date, Costa représente un profil moderne, fiable et jeune. Mais le prix est vertigineux : 70 millions de livres sterling. Un montant que Porto pourrait légèrement négocier, mais qui pèserait lourd dans les finances du PSG, déjà sollicitées sur d’autres dossiers.
Pendant ce temps, Manchester City entre dans la danse. Avec l’incertitude autour de l’avenir d’Ederson, les Citizens surveillent attentivement la situation. Et à la surprise générale, Galatasaray s’est également positionné, prêt à tenter un coup de folie en recrutant un nom de prestige pour leur cage. Après avoir rêvé de Maignan, Sommer ou Ederson, c’est désormais Donnarumma qui fait tourner les têtes à Istanbul.
Mais derrière cette guerre de chiffres se cache une autre vérité : le PSG n’a plus de marge pour se faire dicter sa loi par ses propres joueurs. Après les épisodes Neymar, Mbappé et Verratti, Luis Enrique et Luis Campos veulent reprendre le contrôle. Et si Donnarumma ne plie pas, il pourrait bien être sacrifié plus tôt que prévu.
Le message est clair : Paris n’est pas à vendre. Même pour 12 millions d’euros par an.