C’est une tentative qui frôle la folie. Et elle a déclenché une véritable tempête entre deux géants. D’un côté, le Real Madrid, fraîchement humilié 0-4 par le PSG en demi-finale du Mondial des Clubs. De l’autre, Manchester City, champion d’Angleterre et propriétaire de l’un des meilleurs milieux défensifs de la planète : Rodri Hernandez.

💣 Objectif clair côté madrilène : remplacer Toni Kroos, retraité depuis 2024, et masquer les failles béantes d’un entrejeu sans repère. Xabi Alonso, qui a succédé à Ancelotti, aurait ciblé Rodri comme priorité absolue, jugeant le joueur espagnol capable de redonner à l’équipe un équilibre que même Tchouaméni n’a pas su garantir.
Mais pour parvenir à ses fins, la Maison Blanche prépare une opération risquée, voire suicidaire : Rodrygo Goes, Eduardo Camavinga et 40 millions d’euros pour convaincre City de lâcher leur homme clé.

😱 Un échange “impossible à refuser”… refusé immédiatement
Les dirigeants du Real pensaient frapper un grand coup. “Trois pour un”, avec deux stars jeunes, bankables, encore loin de leur plafond – de quoi séduire n’importe quel club européen.
Mais la réponse de Guardiola n’a laissé place à aucune négociation. Selon plusieurs sources proches du club anglais, la proposition a été “jetée à la poubelle sans être discutée”. Le coach catalan aurait même réagi avec colère, choqué par ce qu’il a considéré comme “une tentative arrogante, typique de la culture Real”, où les noms comptent plus que l’équilibre collectif.
“Rodrygo est talentueux, Camavinga aussi. Mais aucun des deux n’a le profil, la discipline ni l’intelligence de Rodri. Ce sont des joueurs qui brillent seuls. Chez nous, on construit des systèmes, pas des vitrines.”
🧨 Malaise à Madrid : “Ils ont voulu brader le futur pour un panic buy”
Côté espagnol, l’échec de cette tentative a provoqué une onde de choc, surtout dans le vestiaire. Rodrygo, déjà mécontent de sa place sur le banc depuis l’arrivée de Kylian Mbappé, aurait appris par la presse qu’il faisait partie d’un package de départ – une humiliation de plus pour l’international brésilien.
Camavinga, lui, se dit “choqué” en privé, d’autant qu’il venait d’être prolongé à long terme. Des voix s’élèvent dans le vestiaire, certaines dénonçant une direction “prête à tout sacrifier pour colmater une brèche”.
Le problème ? Real Madrid ne peut signer personne sans vendre un cadre, à cause des contraintes salariales. Rodri, encore convalescent après une rupture du ligament croisé, représente malgré tout la seule piste jugée “élite” par Alonso. Mais le rejet brutal de City a remis en lumière l’isolement stratégique de Pérez sur le marché.
🔥 Guardiola s’enflamme, les fans se moquent
Sur les réseaux, les fans de City jubilent. “Rodri n’est pas à vendre, et sûrement pas au rabais pour des joueurs Instagram.” Le mot “panique à Madrid” est devenu viral. Même les fans du Real, pourtant habitués aux rumeurs folles, semblent désabusés : “On se fait rejeter comme un petit club… C’est le signe qu’on a perdu notre pouvoir de séduction.”
Pep Guardiola, de son côté, ne cache plus son mépris. Il aurait déclaré en interne qu’“aucun joueur du Real actuel, à part Bellingham et Mbappé, ne pourrait intégrer son XI titulaire.” Une déclaration qui fait froid dans le dos… mais qui alimente le feu.
⚠️ Et maintenant ?
Real Madrid pourrait retenter sa chance l’été prochain, quand le contrat de Rodri entrera dans sa dernière année. Mais d’ici là, le rapport de force aura changé. Surtout si les tensions internes s’enveniment.
L’échange raté a révélé plus qu’une simple divergence de valeur marchande. Il a exposé deux philosophies opposées, deux manières de penser le football, et un fossé croissant entre un Real impétueux et un City devenu glacialement rationnel.
Et la guerre des ego… ne fait que commencer.