Le 15 septembre au soir, la tension a franchi un nouveau cap entre Barcelone et le Real Madrid. Invité sur un plateau télévisé catalan, Joan Laporta, président du FC Barcelone, a lâché une bombe médiatique qui a immédiatement fait vibrer toute l’Espagne. Ses mots résonnent encore comme une gifle :
« IL N’EST PAS DU MÊME NIVEAU QUE HAALAND ! »

Cette phrase, prononcée avec un ton de défi, n’était pas anodine. Selon plusieurs observateurs, Laporta visait directement Kylian Mbappé, la recrue star du Real Madrid et nouveau numéro 10 de la Maison Blanche. Pire encore, il a ajouté qu’il était prêt à injecter “des centaines de millions d’euros” pour faire venir Erling Haaland au Camp Nou en 2026, persuadé que “le Norvégien écraserait la concurrence et écrirait une nouvelle page de l’histoire du Barça.”

💣 UNE RÉACTION IMMÉDIATE DE MADRID
La déclaration a enflammé les réseaux sociaux en quelques minutes. Les supporters du Real se sont indignés : “Un président qui insulte nos joueurs, c’est une provocation de trop !” pouvait-on lire en boucle. Mais le coup de théâtre est venu de l’intérieur du vestiaire merengue. À peine quelques heures après la sortie médiatique de Laporta, Arda Güler, jeune pépite turque du Real, a posté un simple message sur X :
« On n’a pas besoin de comparer quand on sait qui fait la différence. »

Dix mots glacials. Dix mots qui ont suffi à renverser la tendance. Le message a été liké, partagé, repris par des milliers de Madridistas enragés, qui voyaient dans cette réponse un symbole de fierté et de loyauté.

🔥 L’OMBRE D’UNE TRAHISON ?
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Vers minuit, un détail a mis le feu aux poudres : des captures d’écran montraient que David Alaba, cadre du vestiaire madrilène, avait “liké” la déclaration initiale de Laporta. La toile s’est enflammée en quelques secondes : “Alaba soutient-il vraiment Laporta ?”, “Un vestiaire fracturé avant la Champions League ?”, “C’est une bombe interne !”

Certains fans ont même appelé à des sanctions, accusant l’Autrichien d’un manque de respect envers Mbappé et le club. L’affaire a pris une telle ampleur que des hashtags comme #DramaElClasico et #AlabaGate se sont hissés en tête des tendances mondiales.

⚡ LE TWIST FINAL : UNE SIMPLE ERREUR ?
Pourtant, au matin du 16 septembre, un démenti officiel a calmé les esprits. Des sources proches du joueur ont expliqué que le fameux “like” n’était qu’un accident de navigation : une manipulation sur l’écran alors qu’il consultait les réseaux. Alaba lui-même a publié un message clair :
« Je n’ai jamais soutenu des propos contre mes coéquipiers. Mbappé est une force pour le Real. Mon seul objectif est la victoire commune. »

La révélation a soulagé une partie des supporters, mais le doute continue de planer. Car dans le climat électrique du Clasico, chaque geste, chaque mot, chaque clic est scruté et interprété.

💥 CONCLUSION : UNE GUERRE DE NERFS AVANT LA CHAMPIONS LEAGUE
À deux jours du match d’ouverture en Ligue des champions contre l’OM, le Real Madrid se retrouve au cœur d’une tempête médiatique provoquée par les paroles calculées de Laporta. Le Barça, de son côté, savoure cette agitation, convaincu que la stratégie de communication de son président a porté ses fruits.

Mais une chose est sûre : ce Clasico permanent entre Barcelone et Madrid ne se joue plus seulement sur le terrain. Il se joue dans les micros, sur les réseaux sociaux, et parfois… dans un simple like qui peut tout faire basculer.