L’atmosphère à Valdebebas a changé. Plus pesante, plus électrique. Lors d’une réunion à huis clos tenue la semaine dernière au sein du directoire du Real Madrid, une phrase aurait glacé le sang de certains dirigeants présents :
« Personne n’est irremplaçable, même une légende. »

Ces mots, attribués à Florentino Perez lui-même selon une source interne, n’étaient pas lancés au hasard. Ils accompagnent une série de décisions stratégiques destinées à préparer la transition la plus délicate de l’histoire du club : passer de l’ère des icônes intouchables… à celle des nouveaux prodiges.

Car pour Perez, la reconstruction ne peut plus attendre. Et à la surprise générale, le président ne miserait ni sur Lamine Yamal, ni sur Désiré Doué, pourtant encensés dans toute l’Europe, pour incarner cette relève galactique. Un autre nom circule, farouchement gardé en interne, que Perez considère comme capable d’“éclipser même le règne de Ronaldo et Messi.”

Mais ce n’est pas tout. Dans une déclaration aussi audacieuse que symbolique, le patron du Real aurait évoqué, pour la première fois, Cristiano Ronaldo Jr. comme “objectif à long terme.” Une sortie inattendue, presque provocante, qui témoigne de l’obsession du club à reconstruire une dynastie… tout en gardant un pied dans la mythologie.
« Il est jeune, il a encore tout à prouver… mais le nom, l’attitude, le sang qu’il a dans les veines – on ne peut pas l’ignorer », aurait lâché Perez à un collaborateur, en privé.
Pour préparer ce futur, le Real Madrid serait prêt à faire des choix forts. Les discussions sont déjà bien avancées pour vendre Rodrigo, actuellement un élément clé sur le flanc gauche de l’attaque, afin de libérer une place stratégique pour ce que Perez appelle le “Ronaldo 2.0”. Plusieurs clubs turcs, dont Galatasaray, auraient déjà approché le club espagnol avec des offres concrètes.
Une chose est sûre : la “nouvelle ère” promise par Perez ne sera pas un simple lifting. C’est une mue totale. Et si les légendes du passé restent des références, les prochaines pages de l’histoire du Real se construiront avec d’autres visages, d’autres symboles… peut-être même un “Ronaldo 2.0”.