Alors que les projecteurs étaient braqués sur ses performances en dent de scie et son avenir incertain, Neymar a, dans l’ombre, pris une décision qui en dit long sur ses priorités profondes. Selon des révélations exclusives obtenues par un proche du staff médical du PSG, la star brésilienne aurait refusé trois campagnes publicitaires internationales, chacune valorisée entre 4 et 7 millions d’euros, uniquement pour passer quelques jours supplémentaires aux côtés de Sofia, la jeune femme qui partageait alors sa vie.

Cette information, gardée secrète pendant des mois, vient aujourd’hui choquer les supporters parisiens et les observateurs du football mondial. Au moment où le PSG tentait désespérément de maintenir un Neymar focalisé sur le projet sportif, c’est un tout autre combat qui se jouait dans le cœur de l’ancien Barcelonais : celui entre gloire financière et bonheur personnel.

Les propositions venaient de trois marques de luxe – une maison horlogère suisse, un géant du prêt-à-porter américain et un sponsor historique du football mondial. Selon nos sources, les tournages avaient été programmés à New York, Tokyo et Dubaï. Mais Neymar, au dernier moment, aurait invoqué une “urgence personnelle” pour annuler sa participation. En réalité ? Il souhaitait rester à Ibiza, où Sofia était hospitalisée pour un léger problème de santé, loin des caméras et des obligations.

Et c’est là que le PSG surprend tout le monde. Plutôt que de sanctionner son joueur, le club de la capitale aurait choisi de fermer les yeux. “Le président Al-Khelaïfi a donné son feu vert pour qu’aucune mesure disciplinaire ne soit prise. Il savait que Neymar n’était pas seulement un joueur, mais aussi un être humain en quête de stabilité émotionnelle”, révèle notre informateur. Un choix risqué, qui en dit long sur la stratégie humaine – voire affective – que le PSG a adopté envers sa star.

Mais ce soutien n’a pas été sans conséquence. En interne, certains cadres du vestiaire auraient exprimé leur incompréhension, estimant que ce “traitement de faveur” cassait l’équilibre du groupe. D’autres, comme Marquinhos ou Verratti, proches de Neymar, auraient au contraire salué le geste du club. “Ce n’est pas un robot. Il a besoin d’amour comme tout le monde”, aurait même déclaré un joueur sous couvert d’anonymat.

La presse espagnole, jamais avare en critiques, ironise déjà : “Neymar préfère les bras de Sofia aux bras de l’Europe”, titre un média madrilène. En Angleterre, plusieurs tabloïds dénoncent un “manque de professionnalisme chronique” de l’ex-Barcelonais. Mais à Paris, le débat est plus nuancé : et si Neymar avait enfin trouvé ce qu’il avait toujours cherché – quelqu’un pour qui il pourrait tout lâcher, même l’argent ?

Derrière ce choix se cache une vérité que peu osent avouer dans le monde ultra compétitif du football moderne : les émotions, les sentiments, les attaches personnelles ont encore leur place, même au plus haut niveau. Neymar, souvent accusé de frivolité, pourrait bien avoir livré ici l’acte le plus sincère de sa carrière.

Aujourd’hui, alors qu’il évolue dans un autre championnat, cette histoire revient hanter le PSG. Était-ce le début de la fin de son aventure parisienne ? Ou au contraire, le seul moment où Neymar a vraiment été lui-même, loin des paillettes, et proche de l’essentiel ? Une chose est sûre : ce choix, qu’il soit romantique ou irresponsable, continue de diviser. Mais il révèle, plus que jamais, l’homme derrière la légende.