Jusqu’à présent, les dernières minutes de la vie de Diogo Jota et de son frère cadet semblaient enveloppées d’un silence respectueux, brisé uniquement par les témoignages bouleversés de proches ou de supporters. Mais aujourd’hui, la vérité dérangeante commence à émerger, et elle repose sur un appel téléphonique glaçant, passé exactement 12 minutes avant l’accident, par Jota lui-même.

🔴 C’est Miguel Goncalves, le kinésithérapeute personnel du joueur, qui confirme :

« J’étais en ligne avec lui. C’était un appel court, confus… mais ce qu’il m’a dit m’a fait froid dans le dos. »

Selon Goncalves, Diogo Jota semblait troublé, presque inquiet, et a mentionné un nom surprenant. Un proche, une personne que personne jusqu’ici ne soupçonnait d’être liée, même indirectement, à cette tragédie. L’identité exacte n’a pas été révélée publiquement, mais les rumeurs parlent d’un ancien préparateur physique, récemment congédié par le staff de Liverpool, qui aurait recommandé à Jota un médicament à base d’oxygénation pour “faciliter le trajet en ferry”.

🚢 Pourquoi Jota n’a-t-il pas pris l’avion ?

La question hante désormais tous les fans : pourquoi Diogo Jota et son frère n’ont-ils tout simplement pas pris l’avion pour retourner en Angleterre ?
La réponse semble médicale, mais elle prend aujourd’hui une dimension presque tragique.

🩺 Selon Rui Loura (CNN Portugal), l’attaquant de Liverpool avait récemment subi une opération pulmonaire, et les médecins avaient fermement déconseillé tout voyage en avion.

« Il devait rejoindre Santander par la route, prendre le ferry Brittany Ferries jusqu’à Plymouth, puis continuer par voiture jusqu’à Liverpool », explique le journaliste.
C’était un plan minutieux, encadré par des spécialistes. Mais quelque chose a mal tourné.

🧃 Alcool ? Drogue ? La famille brise les rumeurs

Dans un entretien exclusif, Miguel Goncalves dément catégoriquement toute consommation d’alcool :

« Ni Jota, ni son frère n’avaient bu. J’en suis témoin. Ils étaient calmes, respectaient les recommandations. Ce qui est arrivé n’a rien à voir avec une conduite imprudente. »

Et pourtant, l’enquête se tourne de plus en plus vers la personne mentionnée dans le dernier appel, comme déclencheur indirect de la suite des événements : un conseil médical, un changement de dernier moment, ou pire… un secret qui n’aurait jamais dû être dévoilé ?

😢 Une cérémonie privée, des larmes publiques

Hier soir, une cérémonie intime a eu lieu à Porto, en présence de la famille, de quelques amis proches et de certains membres du club.
Les supporters, eux, se sont rassemblés silencieusement devant le stade du FC Porto, tenant des bougies, laissant des messages accrochés aux grilles, certains en larmes, d’autres encore dans l’incrédulité.

Une banderole déployée devant le stade résume le sentiment général :

“12 minutes… et tout s’est effondré.”

Ce drame pourrait-il être évité ?
Et surtout : que s’est-il réellement dit pendant ce dernier appel ?
La réponse, enfouie dans la mémoire de Miguel Goncalves, pourrait bien changer à jamais la lecture de ce qui, jusqu’ici, semblait n’être qu’un accident tragique…