MOMENT HISTORIQUE AU BERNABÉU ! Le Real Madrid s’impose face à Marseille en Ligue des Champions, mais au-delà du score, c’est un nom inattendu qui retient toutes les attentions : Álvaro Carreras. En seulement quelques matchs, le jeune latéral gauche originaire de Ferrol est en train de passer de promesse discrète à phénomène incontestable du football européen.

Le duel contre Marseille, dans le cadre de la League Phase de la Champions League 2025/26, restera peut-être comme le vrai acte de naissance de Carreras sous le maillot merengue. Aligné d’entrée par Xabi Alonso, le défenseur de 22 ans a disputé l’intégralité des 90 minutes avec une maturité déconcertante. Ses chiffres parlent d’eux-mêmes : 7 récupérations de balle, 3 interceptions clés, une précision de passes supérieure à 90%, et surtout cette capacité à enchaîner les sprints pour étouffer totalement son vis-à-vis.

Greenwood, attaquant vedette de Marseille, n’a d’ailleurs pas mâché ses mots après la rencontre :
“Depuis que je suis à Marseille, je n’ai jamais affronté un cauchemar pareil. Carreras nous a détruits sans répit, il ne m’a laissé aucune chance.”
Une déclaration choc qui résonne comme un signe de reconnaissance involontaire envers le défenseur madrilène.

Mais ce qui fait encore plus trembler les observateurs, c’est la vitesse avec laquelle Carreras a conquis le vestiaire et les tribunes du Bernabéu. Dans un Real Madrid privé de Ferland Mendy et en quête de stabilité sur le couloir gauche, il s’impose comme une réponse imprévue mais parfaitement adaptée. Son profil explosif, capable d’allier puissance défensive et projections tranchantes vers l’avant, rappelle à certains les plus grandes époques des Roberto Carlos ou Marcelo.

La presse espagnole, souvent impitoyable, a déjà commencé à parler de lui comme d’un “fichaje silencieux devenu indispensable”. D’autres vont encore plus loin : selon des sources internes, Florentino Pérez envisagerait d’inclure Carreras dans son grand projet de renouvellement générationnel — aux côtés de Bellingham, Endrick et Mbappé. Le plan secret ? Forger une colonne vertébrale capable de dominer l’Europe au moins une décennie.

Et si ce soir-là face à Marseille n’était que le premier chapitre ? Carreras a montré qu’il pouvait tenir la pression de la Champions League, qu’il savait embrasser les grands rendez-vous et qu’il n’avait pas peur de défier des attaquants confirmés. Pour un joueur arrivé presque sur la pointe des pieds, c’est un coup de tonnerre qui change déjà les équilibres au sein de l’effectif madrilène.

L’histoire de Carreras au Real Madrid ne fait que commencer, mais une chose est sûre : après une telle démonstration, plus personne ne pourra l’ignorer. Bernabéu a trouvé son nouveau chouchou, et l’Europe son nouveau cauchemar.