C’est une rumeur qui fait trembler jusqu’aux murs du Camp Nou : selon plusieurs sources proches du dossier, Luis Enrique aurait déclaré en privé à la direction du PSG une phrase qui résonne comme une bombe atomique en Catalogne :
« Si on recrute Gavi, je détruis l’héritage de la Masia. »

Une déclaration lourde de sens, pleine de rancune et de calculs. Et dans les coulisses du football européen, certains commencent à comprendre que l’intérêt du PSG pour Gavi n’est pas qu’une simple ambition sportive. C’est une vengeance. Froide. Longuement préparée.

🧠 Un plan mûri dans l’ombre depuis des mois
Luis Enrique connaît parfaitement Gavi. Il l’a façonné en équipe nationale espagnole, lui a offert sa première titularisation à seulement 17 ans, et n’a jamais caché son admiration pour ce milieu de terrain au tempérament volcanique. Mais derrière cette admiration, il y aurait une stratégie : arracher l’un des joyaux les plus précieux du Barça pour humilier le club catalan là où ça fait le plus mal – son identité.

Car Gavi n’est pas un joueur comme les autres. Il est perçu à Barcelone comme le symbole de la nouvelle génération formée à la Masia, l’héritier naturel de Xavi et Iniesta. L’arracher aujourd’hui, c’est comme voler l’âme du club.
😱 Une réunion d’urgence à Barcelone… et un Pedri qui fuit les caméras ?
Hier soir, alors que la rumeur du départ de Gavi s’intensifiait, Joan Laporta aurait convoqué une réunion d’urgence avec Deco et plusieurs membres influents du conseil d’administration. Selon des témoins internes, le président aurait eu « le visage blanc comme un linge », visiblement choqué par les nouvelles garanties financières proposées par Paris.
Dans le même temps, un détail troublant a fait surface : Pedri, censé intervenir devant la presse ce matin, aurait annulé sans donner de raison. Plusieurs journalistes espagnols affirment que le jeune milieu de terrain aurait été « dévasté » après avoir appris que Gavi, son binôme sur et en dehors du terrain, était réellement tenté par l’offre du PSG.
💰 Paris met le paquet… et Gavi est tenté
Du côté de Paris, on jubile. L’après-Mbappé se dessine avec audace, jeunesse et ambition. Un trio Gavi – Vitinha – Joao Neves est déjà dans la tête d’Enrique, soutenu par des ailiers comme Barcola ou Asensio. Le PSG veut non seulement gagner, mais aussi voler les symboles des autres grands d’Europe.
Et pour convaincre Gavi, le club aurait proposé un contrat pharaonique : salaire triplé, primes à la signature de plusieurs millions, rôle de leader assuré, et surtout… une clause libératoire supprimée. Tout est fait pour lui offrir un nouveau royaume, loin de l’ombre de Xavi et des tensions économiques du Barça.
🔥 La Masia en danger, Enrique en bourreau ?
Ce qui dérange le plus en Catalogne, ce n’est pas tant le montant de l’offre parisienne – 80 millions d’euros – mais bien la dimension symbolique de cette opération. Pour beaucoup, Luis Enrique, ancien entraîneur adulé du Barça, est en train de trahir ses racines.
Mais pour d’autres, il s’agit d’une revanche froide contre un club qui l’aurait mis de côté trop rapidement après son passage en tant qu’entraîneur. En prenant Gavi, il ne recrute pas seulement un joueur : il fait vaciller tout un mythe.
⏳ Une réponse attendue avant la mi-août… et une Catalogne qui retient son souffle
Le clan Gavi n’a toujours pas réagi officiellement, mais dans les coulisses, on sait que le joueur est touché par les promesses sportives et humaines du PSG. Paris joue la montre, mais Enrique l’a dit clairement : il veut une réponse avant la mi-août.
Si le Barça cède, ce ne sera pas un simple transfert. Ce sera un séisme. Et peut-être le début d’un affrontement encore plus brutal entre Paris et Barcelone. Comme en 2017. Comme avec Neymar. Mais cette fois, le poignard est planté par un homme que Barcelone a lui-même forgé.