À quelques heures de la grande finale de la Ligue des champions 2025, personne ne s’attendait à un tel clash. Lors d’une conférence de presse tendue, Simone Inzaghi, l’entraîneur de l’Inter Milan, a lancé une série de critiques virulentes à l’encontre de Gianluigi Donnarumma, le gardien vedette du PSG. Mais plus choquant encore : il aurait menacé d’influencer la liste de l’équipe nationale italienne pour l’écarter du prochain Euro.

Selon plusieurs journalistes italiens présents sur place, Inzaghi aurait qualifié Donnarumma de “gardien instable”, insinuant qu’il n’était pas digne de représenter l’Italie dans les moments cruciaux. Ces déclarations ont provoqué un véritable séisme médiatique, au point que la fédération italienne a dû rapidement publier un communiqué de “désescalade”.

Mais le plus surprenant n’est pas venu d’Inzaghi… C’est la réaction de Donnarumma qui a retourné l’opinion publique. Interrogé quelques minutes plus tard, le portier du PSG n’a pas élevé la voix, ni répondu avec agressivité. Il a simplement déclaré, d’un ton calme :

« Le terrain parlera pour moi. L’Italie mérite mieux que des querelles d’ego. »
Une réponse glaciale, pleine de sang-froid, qui a retourné les réseaux sociaux en sa faveur. En quelques heures, le hashtag #RespectGigi est devenu tendance sur X (ex-Twitter) en Italie.
Le lendemain, le PSG remportait la Ligue des champions, tandis que l’Inter s’effondrait sous la pression. Les critiques contre Inzaghi se sont alors multipliées : ses propos déplacés, la gestion émotionnelle douteuse, et un style de jeu jugé dépassé.
Plusieurs figures du football italien, dont des anciens de la Nazionale, estiment aujourd’hui que le cycle d’Inzaghi à l’Inter est terminé. La défaite en finale ne serait que le symptôme d’un problème plus profond : un entraîneur déconnecté du vestiaire et dépassé par son époque.
Le débat est lancé. Et Donnarumma, lui, n’a eu besoin que d’une seule phrase pour tout renverser.