Le 14 août 2025, l’onde de choc continue de se propager dans les coulisses du football mondial. Officiellement, la FIFA a choisi de ne pas ouvrir d’enquête disciplinaire à l’encontre de Luis Enrique, malgré les images montrant l’entraîneur du PSG semblant gifler Joao Pedro, l’attaquant brésilien de Chelsea, lors de la finale de la Coupe du Monde des Clubs disputée aux États-Unis le mois dernier. Officieusement, l’histoire serait bien plus explosive.

Selon une source proche du vestiaire parisien, cette gifle n’aurait pas été un simple geste d’humeur au milieu d’une bagarre générale, mais la réponse directe à une provocation verbale humiliante. Joao Pedro aurait, devant plusieurs joueurs et membres du staff, lâché une phrase assassine : « Le PSG restera à jamais le club des perdants. » Une phrase qui, selon ce témoin, aurait glacé l’atmosphère et mis le feu aux poudres.
La scène s’est déroulée après le coup de sifflet final, alors que Chelsea venait de dominer Paris 3-0. Les tensions, déjà palpables sur le terrain, ont explosé lorsque Pedro, euphorique, se serait approché de la zone technique parisienne pour lancer sa pique. Luis Enrique, connu pour son sang-froid habituel mais aussi pour ses éclats lorsqu’il sent son équipe attaquée, aurait alors franchi la ligne, littéralement et figurativement.
La FIFA, interrogée en début de semaine, a balayé toute idée de sanction. “Aucune procédure disciplinaire n’est en cours”, a simplement déclaré un porte-parole. Mais cette absence de réaction alimente les rumeurs. Plusieurs médias espagnols insinuent que le Qatar, propriétaire du PSG, aurait exercé une influence discrète pour étouffer l’affaire. Officiellement, rien ne prouve ces allégations, mais dans les couloirs du football européen, peu doutent de la capacité des dirigeants parisiens à protéger leurs intérêts.
Ce que l’on sait, en revanche, c’est qu’à peine rentrés à l’hôtel, Nasser Al-Khelaïfi et l’état-major du PSG ont convoqué une réunion d’urgence. Derrière des portes closes, pendant plus de trois heures, ils auraient élaboré un plan de “riposte sportive” contre Chelsea. Selon nos informations, ce plan impliquerait des manœuvres sur le marché des transferts, visant non seulement à saper la stabilité de l’effectif londonien, mais aussi à frapper un coup psychologique avant le début de la saison.
L’idée ? Tenter de débaucher l’un des joueurs-clés de Chelsea – possiblement un cadre sud-américain – dès le prochain mercato d’hiver. Des émissaires du PSG auraient déjà sondé l’entourage du joueur, laissant entendre que Paris serait prêt à casser sa tirelire pour l’arracher à Stamford Bridge. Une vengeance froide, mûrement réfléchie, qui dépasserait largement le cadre d’un simple règlement de comptes verbal.
Luis Enrique, de son côté, maintient sa version : il aurait uniquement cherché à séparer ses joueurs et calmer les esprits. “J’ai essayé d’empêcher que mes joueurs en viennent aux mains. Il y avait beaucoup de bousculades. Je n’ai rien à ajouter. Je me fiche que les gens m’aiment ou non”, a-t-il déclaré. Une réponse laconique, qui laisse planer le doute et ne fait qu’alimenter les spéculations.
Ce qui est certain, c’est que le PSG n’a pas laissé cette défaite sans suite. Dans la nuit même, plusieurs cadres du vestiaire auraient été approchés pour jurer “allégeance totale” au projet du club et se préparer à des affrontements psychologiques avec Chelsea, que Paris pourrait retrouver plus tôt que prévu en Ligue des Champions.
En attendant, Enrique a repris place sur le banc dès le match suivant, menant le PSG à une victoire dramatique contre Tottenham en Supercoupe d’Europe, arrachée aux tirs au but (4-3). Ce cinquième trophée de la saison 2024/25 n’efface pas l’humiliation subie face à Chelsea, mais dans l’ombre, le club de la capitale semble prêt à faire payer très cher l’affront de Joao Pedro.
Et si la gifle de Luis Enrique n’était que le premier coup d’un duel psychologique qui pourrait marquer toute la saison européenne ?