Le calme n’aura duré que quelques mois. Alors qu’on croyait l’affaire classée, l’enquête visant Achraf Hakimi pour agression sexuelle a brutalement été relancée par les autorités françaises. Selon des sources judiciaires relayées par Le Parisien et The Sun, de nouveaux éléments auraient été ajoutés au dossier, forçant les procureurs à réactiver l’instruction… au moment même où le PSG préparait la nouvelle saison.

đ Un timing catastrophique pour le club, qui voit son latéral droit star à nouveau au cœur d’un scandale, dans un contexte où la moindre erreur médiatique peut coûter cher. Si Hakimi n’a pas encore été formellement inculpé, l’ombre du doute suffit déjà à faire trembler les étages supérieurs du Parc des Princes.
đŻ Un nom circule déjà… et ce n’est pas un hasard
D’après nos informations, Luis Enrique aurait déjà validé en interne un profil de remplacement potentiel : Jeremie Frimpong (Leverkusen) figure en tête de liste. Rapide, percutant, excellent dans un système à trois défenseurs, le Néerlandais coche toutes les cases… et surtout, il arrive avec un casier vierge, loin des affaires.

Plus étonnant encore : une source proche du vestiaire affirme que le coach espagnol n’aurait pas inclus Hakimi dans son “groupe stratégique” pour la préparation d’avant-saison, un choix passé inaperçu… jusqu’à maintenant.
« Il y a des limites que le club ne veut plus franchir. Le PSG veut un vestiaire sans nuage. Hakimi n’est plus intouchable », nous confie un membre de l’entourage du président Nasser Al-Khelaïfi.
đ§š Le poids du silence… et la réaction glaciale de Doha
Ce qui inquiète encore plus : l’absence totale de réaction officielle de la part du joueur. Depuis l’ouverture de la nouvelle enquête, Hakimi garde le silence absolu. Aucune déclaration. Aucun post. Rien. Et du côté de Doha, les hautes sphères s’impatientent. Le Qatar, propriétaire du club, redoute l’impact d’un nouveau scandale sur son image globale, notamment à l’approche de dossiers commerciaux sensibles.
Un dirigeant anonyme de la Fédération marocaine, interrogé discrètement, résume la situation avec gravité :
« Si le PSG se sépare d’Hakimi cet été, ce ne sera pas pour des raisons sportives… mais morales. »
Pendant ce temps, Frimpong aurait déjà reçu un appel du board parisien. Aucune offre officielle n’a encore été faite, mais tout est prêt, dans l’ombre, pour une bascule express. Le message est clair : le PSG n’attendra pas que la justice tranche.
Car dans ce PSG-là, version 2025, un simple doute peut suffire pour changer de cap.