Le PSG continue son parcours impressionnant en Coupe du Monde des Clubs ! Après avoir validé son billet pour les huitièmes de finale grâce à une victoire maîtrisée (2-0) face aux Seattle Sounders, les joueurs parisiens peuvent souffler… mais l’ambiance est loin d’être à la routine dans les vestiaires.
Et pour cause : la déclaration de Joao Neves juste après la rencontre a enflammé les supporters et les observateurs. Devant les micros, le jeune milieu portugais a littéralement encensé son entraîneur Luis Enrique, désigné comme l’architecte de ce PSG conquérant et ambitieux.
« C’était dur, il fait chaud, et Seattle est une bonne équipe avec le ballon. Mais on a tout donné pour l’emporter. Je suis très heureux. Notre coach est incroyable. Il nous donne tout pour qu’on soit au top. Il nous donne la confiance, il veut qu’on joue avec le ballon et qu’on fasse courir l’adversaire. Et quand on n’a pas le ballon, on doit le récupérer vite. Peu importe l’adversaire, c’est toujours pareil. On travaille comme ça », a confié Neves, rayonnant.
Des propos forts, qui confirment l’influence croissante de Luis Enrique sur ce groupe parisien en pleine métamorphose depuis le début de l’année.
Le coach espagnol, arrivé dans la capitale avec la lourde mission de reconstruire un PSG plus cohérent et plus conquérant, est en train de réussir son pari. Après un départ canon dans ce Mondial des Clubs (4-0 face à l’Atlético Madrid), le PSG avait toutefois connu un accroc inattendu en s’inclinant 1-0 face à Botafogo. Une défaite que Luis Enrique avait d’ailleurs saluée en déclarant que le club brésilien était « la meilleure équipe que nous ayons affrontée cette saison ».
Mais loin de briser la dynamique parisienne, cet échec a visiblement resserré les rangs. Face à Seattle, les hommes de Luis Enrique ont livré une prestation collective solide, avec une circulation fluide, une récupération rapide et une maîtrise quasi totale du tempo du match.
En interne, plusieurs cadres du vestiaire reconnaissent que l’ancien sélectionneur de la Roja a imposé une véritable culture de travail et un état d’esprit fédérateur.
« Il y a un vrai projet de jeu, tout le monde adhère », confie un membre du staff. « Même après la défaite contre Botafogo, personne n’a paniqué. Luis a cette capacité à maintenir le groupe concentré, à donner confiance aux jeunes comme Neves ou Doué. »
Le PSG, désormais lancé, fait figure de grand favori pour cette première édition du Mondial des Clubs version élargie. Et Luis Enrique, plus ambitieux que jamais, ne cache plus ses objectifs : « Nous voulons montrer que le PSG peut dominer, pas seulement en Europe, mais partout dans le monde. »
Avec un vestiaire en ébullition et des jeunes talents portés par un coach admiré, Paris semble plus que jamais armé pour viser un triplé historique cette saison…
Le prochain chapitre s’annonce palpitant !