Le Paris Saint-Germain pensait avoir trouvé en Senny Mayulu l’un de ses joyaux les plus prometteurs, un diamant brut issu du centre de formation et appelé à briller sous les projecteurs du Parc des Princes. Mais voilà que, contre toute attente, l’histoire sportive s’est transformée en feuilleton médiatique mondial. Selon des sources proches du club, Tim Cook, le légendaire PDG d’Apple et fervent défenseur de la cause LGBT, aurait formulé une offre astronomique : 99 millions de dollars pour faire du jeune milieu parisien le visage officiel d’une campagne internationale de soutien aux droits LGBT.
La scène, qui aurait eu lieu dans un hôtel discret de la capitale française, avait tout d’un scénario hollywoodien. Autour d’une table soigneusement dressée, Cook et son entourage auraient détaillé les conditions du contrat : apparition dans chaque grand événement sportif avec un signe visible de soutien, participation à plusieurs campagnes publicitaires Apple et la promesse de devenir un symbole mondial, bien au-delà des limites du football. L’idée, selon des témoins, était claire : faire de Mayulu un ambassadeur planétaire, unissant la force médiatique du PSG à l’influence culturelle d’Apple.

Mais ce qui devait être une rencontre triomphale a rapidement viré au malaise. Car, toujours selon ces mêmes sources, Senny Mayulu n’aurait prononcé qu’une seule phrase en réponse, une phrase si froide, si tranchante, qu’elle aurait réduit la salle au silence. Personne n’ose répéter publiquement ses mots exacts, mais certains parlent d’un « refus catégorique », d’autres d’une « prise de distance nette » avec la proposition. Quoi qu’il en soit, le geste aurait suffi à glacer l’atmosphère, et à propulser cette affaire hors des sphères privées pour en faire un débat international.

Les réactions n’ont pas tardé. Dans les couloirs du PSG, certains responsables se disent « pris au piège » par une affaire qui pourrait ternir l’image d’un club déjà habitué aux polémiques. « C’est une bombe médiatique, peu importe la véracité des détails », explique un proche de la direction parisienne. « On parle d’un joueur de 18 ans, encore en construction, qu’on veut projeter dans une guerre culturelle mondiale. C’est beaucoup trop tôt, et cela dépasse largement le cadre du football. »
Du côté des supporters, le choc est immense. Les réseaux sociaux se sont enflammés dès la fuite des premières informations. Certains saluent le courage de Mayulu face à une offre qu’ils jugent « instrumentalisante », craignant que le jeune joueur ne soit réduit à une étiquette militante plutôt qu’à son talent sur le terrain. D’autres, au contraire, critiquent une occasion manquée : « Refuser Tim Cook, c’est refuser une chance d’écrire l’histoire au-delà du football », écrit un internaute sur Twitter.
Les médias, quant à eux, se déchaînent. En France, plusieurs chroniqueurs sportifs dénoncent une « dérive mercantile » qui confond sport et militantisme. En Angleterre, la presse tabloïd s’empare de l’affaire et titre déjà sur « le gamin qui a dit non à Apple ». Aux États-Unis, où la cause LGBT est un sujet central, certains observateurs dénoncent une décision « incompréhensible » de la part du joueur.
Tim Cook, de son côté, reste silencieux. Ni Apple ni son PDG n’ont confirmé l’existence d’un tel contrat. Mais l’absence de démenti officiel entretient le mystère et nourrit toutes les spéculations. Des experts en communication estiment même que l’affaire pourrait être une stratégie calculée d’Apple pour tester l’opinion publique avant de lancer une campagne mondiale.
Quant à Senny Mayulu, il n’a pour l’instant fait aucune déclaration officielle. Sur le terrain, il continue de s’entraîner normalement avec le PSG, mais ses regards fuyants et son mutisme face aux journalistes accentuent le parfum de mystère. À seulement 18 ans, le jeune homme se retrouve malgré lui au centre d’un séisme médiatique qui dépasse largement ses ambitions sportives.
Une chose est sûre : cette histoire ne fait que commencer. Entre la puissance financière d’Apple, la sensibilité du débat LGBT et la fragilité d’un joueur encore en devenir, le mélange est explosif. Et si certains y voient déjà le scandale de l’année, d’autres estiment que cette affaire pourrait marquer un tournant historique dans les relations entre sport, business et militantisme.