Le coup de tonnerre est tombé au Santiago Bernabéu : Florentino Pérez, le tout-puissant président du Real Madrid, a officiellement validé la promotion de Cristiano Jr. au sein de la prestigieuse cantera madrilène. Plus encore, selon les sources proches du club, Pérez aurait déclaré à ses collaborateurs que le jeune attaquant « deviendra le deuxième CR7 », celui qui portera l’héritage de son père et brillera un jour sous les projecteurs du Bernabéu.

L’annonce a bouleversé le vestiaire et fait exploser les réseaux sociaux. Car si l’arrivée de Cristiano Jr. à la cantera n’est pas une surprise – il a déjà évolué dans les catégories inférieures de la Juventus et de l’Al Nassr –, le fait que le président en personne intervienne pour officialiser le dossier est inédit. Pérez n’a pas simplement signé une inscription administrative : il a imposé une stratégie sur mesure, mêlant exigence, patience et conditions contractuelles surprenantes.

Les conditions imposées par le clan Ronaldo
Cristiano Ronaldo, conscient du poids énorme qui pèse déjà sur les épaules de son fils, a accepté la décision avec une fierté visible mais aussi une extrême prudence. D’après Marca, CR7 a fixé avec Pérez trois conditions non négociables :

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Pas de médiatisation excessive – Cristiano Jr. ne sera pas autorisé à donner d’interview avant ses 18 ans. L’objectif : le protéger de la pression médiatique.
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Formation prioritaire – sa scolarité et son développement physique priment sur toute carrière sportive prématurée. Des tuteurs académiques seront assignés par le club.
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Encadrement technique personnalisé – l’adolescent bénéficiera d’un staff mixte choisi par le Real et par CR7, incluant un préparateur portugais de confiance et un coach madrilène.
Florentino Pérez aurait accepté toutes ces conditions, persuadé que cette rigueur contribuera à forger le caractère du futur crack.
Un futur CR7 ?
Le président du Real Madrid, toujours obsédé par l’idée de marquer l’histoire, voit en Cristiano Jr. un symbole. Pérez est convaincu que le fils de son ancien Galactico peut devenir le visage d’une nouvelle ère. « L’héritage doit continuer », aurait-il confié à son entourage, ajoutant que le Bernabéu devait déjà « se préparer à acclamer un deuxième Cristiano ».
Les images d’entraînement publiées ces derniers jours montrent un Jr. affûté, doté d’une frappe puissante du pied droit et d’une vitesse surprenante pour son âge. Les comparaisons avec son père sont inévitables, mais certains entraîneurs madrilènes soulignent déjà une différence notable : Cristiano Jr. possède une meilleure vision collective du jeu.
Des réactions contrastées
La décision a néanmoins provoqué des remous. Certains supporters du Real s’enthousiasment, voyant dans cette signature une histoire de conte de fées qui pourrait se réaliser. D’autres, plus sceptiques, craignent une opération marketing destinée à vendre des maillots plutôt qu’un véritable projet sportif.
Dans le vestiaire madrilène, plusieurs cadres auraient été étonnés de voir Pérez s’impliquer à ce niveau. Selon une fuite, Luka Modric aurait plaisanté : « Alors, dans quelques années, on devra l’appeler capitaine ? » Un rire qui cache une réalité : Cristiano Jr. devra convaincre sur le terrain.
Le rêve… et les risques
Les médecins du club, eux, rappellent la nécessité d’une progression naturelle. L’adolescent ne doit pas subir de surcharge d’entraînement. « Vouloir brûler les étapes peut ruiner une carrière avant même qu’elle ne commence », a prévenu le staff médical.
Cristiano Jr., désormais lié à la maison blanche, marche donc sur un fil : entre l’immense rêve de succéder à son père et le danger d’une pression démesurée.
Florentino Pérez, en pariant publiquement sur lui, vient de transformer ce rêve en défi mondial. Désormais, toute la planète football attend de voir si le fils de la légende deviendra vraiment… le CR7 bis.