đ° IBRAHIMOVIC EN FLAMMES : SON PRONOSTIC CHOC POUR LA FINALE PSG–INTER DÉCLENCHE UNE VAGUE DE COLÈRE
Zlatan Ibrahimovic, fidèle à lui-même, a encore frappé. À la veille de la finale tant attendue entre le PSG et l’Inter Milan, l’ex-star suédoise a partagé son pronostic sur Instagram, pensant sans doute susciter la curiosité. Mais le résultat fut tout autre : une déferlante de colère, de déceptions et de trahisons ressenties.

“Mon cœur est noir et bleu. L’Inter va gagner cette finale. C’est leur moment,” a-t-il écrit, accompagné d’une photo de lui célébrant en maillot de l’Inter.
Ce message, posté à quelques heures du coup d’envoi, a rapidement mis le feu aux réseaux sociaux, notamment du côté parisien. Pour beaucoup de fans du PSG, ce soutien clair et assumé à l’Inter Milan – rival du soir – est une trahison pure et simple.
Certains n’ont pas hésité à réclamer le retrait d’Ibrahimovic du “mur des légendes” du club parisien, dénonçant une “absence totale de loyauté” envers un club qui l’a porté pendant quatre saisons et où il a marqué l’histoire.
“Ibra a marqué des buts, mais aujourd’hui il marque les esprits… pour de mauvaises raisons”, a tweeté un supporter parisien.
À Milan, en revanche, les fans de l’Inter célèbrent déjà ce “retour du roi”. Ibrahimovic, qui a brillé à San Siro entre 2006 et 2009, est vu comme l’un des symboles de la domination nerazzurra de l’époque Mancini-Mourinho. Son choix est donc logique pour eux… mais dévastateur pour ceux qui pensaient qu’il garderait une forme de neutralité.
Zlatan fidèle à lui-même, ou Zlatan qui franchit une ligne rouge ?
Ce n’est pas la première fois que le Suédois fait parler de lui par ses prises de position. Mais cette fois-ci, la question est posée :
đ Peut-on encore considérer Ibrahimovic comme une légende du PSG ?
đ Le club réagira-t-il officiellement à la pression des supporters ?
đ Ou faut-il simplement accepter que Zlatan n’appartient à personne… sauf à lui-même ?
đŁ La finale PSG–Inter n’a pas encore commencé, mais la guerre des symboles, elle, est déjà lancée. Et Zlatan, une fois de plus, s’est placé au centre du chaos.