GUARDIOLA RÉVÈLE LA VÉRITÉ SUR YAMAL : « Ne comptez pas sur un nouveau Messi ! »
Dans une interview accordée à DAZN, l’entraîneur de Manchester City, Pep Guardiola, s’est exprimé avec une rare franchise sur Lamine Yamal, la pépite de 17 ans du FC Barcelone. Si le coach catalan a salué l’intelligence de jeu exceptionnelle du jeune ailier, ses propos ont rapidement déclenché un débat enflammé entre fans espagnols… et français.

« Cette maturité, on ne la voit normalement qu’à 24 ou 25 ans, pas à 17. Avec des talents comme lui, on s’attend toujours à ce qu’ils fassent la différence à chaque ballon touché… Mais lui, il joue à son rythme, il attend, puis il décide du match », a déclaré Guardiola, visiblement impressionné.
Mais c’est surtout la fin de sa déclaration qui a semé le trouble :
« Je ne dirai pas qu’il est comme Leo. Désolé, mais pour moi, personne ne sera jamais comme Leo Messi. »
Un avis nuancé… mais qui a été interprété par certains comme un désaveu symbolique. Alors que le FC Barcelone et une partie de la presse espagnole construisent peu à peu le mythe du “nouveau Messi”, Guardiola a préféré tempérer les attentes. Une prise de position perçue comme une douche froide pour les supporters blaugranas, mais une opportunité en or pour les fans français.
Le camp Dembélé contre-attaque
Alors que la course au Ballon d’Or 2025 commence à s’intensifier, les fans français ont lancé une contre-offensive médiatique. Dans un sondage récent réalisé par L’Équipe, Ousmane Dembélé a obtenu 44 % des voix des supporters français, devançant largement Yamal et Mbappé (21 % chacun).
Pour beaucoup, le timing des propos de Guardiola est troublant. Certains y voient une volonté de détourner l’attention des projecteurs sur Yamal, afin de réduire la pression sur ses épaules… ou même de favoriser son ancien joueur, Dembélé, dans la course au trophée suprême.
Le débat fait rage sur les réseaux sociaux : Yamal est-il surestimé ? Dembélé est-il enfin reconnu à sa juste valeur ? Et surtout, qui mérite vraiment le Ballon d’Or 2025 ? Les prochaines semaines, avec la Coupe du monde des clubs, pourraient bien faire basculer l’équilibre.
Une chose est sûre : la guerre médiatique ne fait que commencer.