Dans les coulisses du Paris Saint-Germain, un geste fort a marqué les esprits ces derniers jours. Luis Enrique, l’entraîneur du club parisien, aurait proposé à Ousmane Dembélé de devenir le nouveau capitaine de l’équipe. Une décision motivée par l’impact croissant du joueur sur le terrain, sa régularité cette saison, et son influence dans le vestiaire.
Mais à la surprise générale, le champion du monde 2018 aurait poliment décliné l’honneur, avançant une raison qui a profondément touché l’encadrement, ses coéquipiers et même les supporters.
« Je préfère rester à ma place, continuer à faire mon travail discrètement, et laisser le brassard à ceux qui portent le vestiaire depuis plus longtemps », aurait déclaré Dembélé avec simplicité.
Une réponse qui n’a rien d’un rejet, bien au contraire. Elle témoigne d’une grande humilité, mais aussi d’un profond respect pour ses coéquipiers, notamment Marquinhos et Danilo, piliers historiques du club. Loin de chercher les projecteurs, Dembélé montre qu’il est au service du collectif avant tout, un trait de caractère de plus en plus reconnu par le staff parisien.
« Ousmane est un exemple de professionnalisme cette saison. Il est arrivé à maturité, et c’est ce type de profil qui fait la différence dans un groupe », confie un membre proche du staff technique.
Revenu en Ligue 1 l’été dernier après plusieurs années au FC Barcelone, Dembélé s’est rapidement imposé comme un élément essentiel dans le système de Luis Enrique. Ses dribbles percutants, sa faculté à déséquilibrer les défenses et sa constance dans l’effort défensif font de lui un joueur complet… et désormais respecté comme un leader naturel.
Dans le vestiaire, sa décision a été accueillie par des applaudissements. Certains y voient même une f
orme de leadership à part entière : celui qui inspire par l’exemple plutôt que par l’autorité.
« Il n’a pas besoin du brassard pour être écouté. Il parle par ses performances et son comportement », affirme un coéquipier.
🔴🔵 En refusant le brassard, Ousmane Dembélé n’a pas décliné une responsabilité : il a affirmé une vision noble du football et du collectif. Paris tient là un capitaine… dans l’âme.