Du sommet à l’abîme en seulement 90 minutes : Luis Enrique accuse le Real Madrid après la défaite face à Chelsea, Florentino Pérez réplique furieusement en 7 mots !

La finale de la Coupe du Monde des Clubs 2025 restera gravée dans l’histoire du football non seulement pour la démonstration de Chelsea sur le terrain, mais aussi pour la polémique enflammée qui s’en est suivie. Battu sèchement 3-0 par les Blues au MetLife Stadium, Luis Enrique, entraîneur du Paris Saint-Germain, a provoqué une onde de choc en pointant du doigt… le Real Madrid comme responsable indirect de cette déroute.

En conférence de presse d’après-match, le technicien asturien a déclaré : « Après avoir humilié le Real Madrid, mes joueurs se croyaient invincibles ». Une phrase qui a immédiatement mis le feu aux poudres. Selon lui, la victoire écrasante 4-0 contre le club madrilène en demi-finale aurait plongé ses hommes dans une confiance excessive, les poussant à sous-estimer Chelsea.

La déclaration, déjà explosive en soi, a suscité des réactions en chaîne. Sur les réseaux sociaux, les supporters des deux camps se sont affrontés à coups de commentaires acides. Mais c’est la réponse du président du Real Madrid, Florentino Pérez, qui a attiré l’attention : « Nous jouons au football, pas aux excuses ». Une riposte sèche, en seulement 7 mots, qui a immédiatement été relayée par tous les médias espagnols et internationaux.
Au-delà des déclarations, cette polémique révèle une tension latente entre Luis Enrique, ancien entraîneur du FC Barcelone, et le Real Madrid. Certains analystes y voient une tentative de détourner l’attention de la piètre performance tactique du PSG face à une équipe de Chelsea bien plus disciplinée.
Par ailleurs, l’incident entre Luis Enrique et João Pedro, capturé par les caméras à la fin du match, risque de prolonger les ennuis du coach parisien. Selon plusieurs sources, la FIFA envisagerait une sanction.
Alors que la saison semblait parfaite pour le PSG, cette défaite brutale suivie d’un scandale médiatique remet en question la solidité du projet Enrique. Une chose est certaine : le football européen n’a pas fini de parler de cette finale électrique.