đź”´ LE REAL MADRID SCELLE L’AVENIR D’ASENCIO – Le veto sur le transfert fait déchanter Besiktas… mais l’histoire est loin d’être terminée !

Alors que la Turquie s’apprête à boucler son mercato estival, un coup de théâtre vient de secouer les bureaux de Besiktas : le Real Madrid a catégoriquement refusé de laisser filer Raul Asencio. Le jeune défenseur central de 22 ans, que l’on disait en partance vers Istanbul, restera finalement à Valdebebas. Une décision qui surprend autant qu’elle intrigue – car quelques mois plus tôt, Asencio semblait tout simplement sur la sellette.

Besiktas, confronté à une crise défensive, voyait en Asencio une option idéale pour redonner de la stabilité à son arrière-garde. Le club turc était prêt à formuler une offre de prêt avec option d’achat, espérant profiter de la situation incertaine du joueur au Bernabéu. Mais c’était sans compter sur le revirement stratégique du staff madrilène.

En effet, depuis l’arrivée de Xabi Alonso sur le banc, la vision à long terme autour d’Asencio a radicalement changé. Longtemps relégué derrière Militao, Rüdiger et le jeune Dean Huijsen, Asencio avait vu son crédit s’éroder, notamment après plusieurs erreurs au Mondial des Clubs. Pourtant, ses 28 apparitions la saison dernière et un impressionnant taux de duels gagnés (78 %) ont plaidé en sa faveur.
Loin d’être un simple choix par défaut, le veto posé par le Real Madrid traduit une volonté claire : construire l’avenir défensif autour d’un joueur formé à la maison, capable de s’imposer dans la rotation. Et dans un contexte où le club cherche à stabiliser son effectif sans s’engager dans des achats coûteux, retenir Asencio est aussi une décision économique.
Du côté de Besiktas, la frustration est palpable. Le club stambouliote misait sur la souplesse du mercato turc pour boucler un dernier renfort clé. Ce refus est un coup dur, mais des voix en interne n’excluent pas un retour offensif en janvier… si la situation venait à évoluer.
Quant à Asencio, le message est clair : le Real lui accorde une seconde chance. Mais il devra prouver, semaine après semaine, qu’il est bien plus qu’un “plan B”. À lui d’écrire la suite de son histoire… sous les projecteurs du Bernabéu.