đ Le Real Madrid dépense sans compter mais cherche toujours son chef d’orchestre – Florentino Pérez choque tout le monde : “C’est Rodri ou personne !”

L’été 2025 est placé sous le signe de l’ambition du côté de Valdebebas. Avec plus de 200 millions d’euros investis, le Real Madrid affiche clairement son désir de renouveler son effectif et de bâtir une nouvelle ère sous la houlette de Xabi Alonso, fraîchement nommé entraîneur principal. Pourtant, malgré un mercato riche en recrues prometteuses, une question majeure reste sans réponse : qui orchestrera le milieu de terrain merengue ?

Avec les arrivées de Dean Huijsen, Trent Alexander-Arnold, Franco Mastantuono et Álvaro Carreras, le Real Madrid s’est offert des profils jeunes, dynamiques, aux grandes perspectives. Mais aucun d’eux ne possède encore l’envergure d’un maître du jeu, capable de réguler le tempo, dicter les phases offensives et donner de la cohérence au collectif – ce que faisait jadis Xabi Alonso lui-même sur le terrain.

Interrogé sur la suite du mercato, Florentino Pérez a surpris tout le monde par une déclaration tranchante : « C’est Rodri ou personne ». Une phrase qui en dit long sur les ambitions – mais aussi les limites – du Real. Le président madrilène estime que Rodri (Manchester City) est le seul profil capable d’assumer ce rôle central dans le nouveau projet. Le problème ? Le milieu espagnol est intransférable, sous contrat jusqu’en 2027, et considéré comme un élément-clé par Guardiola.
Cette obsession pour Rodri crée un blocage stratégique. D’autres options comme Enzo Fernández, Alexis Mac Allister ou Sandro Tonali ont été jugées trop coûteuses ou peu convaincantes. Le nom de Nicolò Barella circule, mais sans enthousiasme de la direction.
Le choix du Real de ne pas se précipiter dans une signature “par défaut” peut paraître prudent, mais il comporte un risque : aborder la saison sans leader naturel au milieu, là où chaque grand projet a besoin d’un cerveau.
Alors que la saison approche à grands pas, le Real Madrid pourrait devoir trancher entre deux extrêmes : attendre un Rodri quasi inaccessible, ou revoir ses critères pour sécuriser enfin le chef d’orchestre qui manque encore à son nouveau « Galactique 3.0 ».