❗ Ce n’est pas qu’une gifle – La FIFA collecte micros et vidéos en coulisses, la sanction d’Enrique pourrait “façonner l’avenir du PSG” !

Le football mondial est secoué par un scandale sans précédent depuis la gifle spectaculaire de Luis Enrique sur l’attaquant de Chelsea, Joao Pedro, juste après la finale de la Coupe du Monde des Clubs 2025. Alors que Chelsea célébrait son titre remporté face au PSG (3-0), les caméras ont capturé un moment choquant : l’entraîneur parisien, visiblement à bout de nerfs, s’est dirigé vers Joao Pedro et l’a giflé sans avertissement.

Cet acte, survenu en direct devant des millions de téléspectateurs et en présence de personnalités telles que Donald Trump, a provoqué une onde de choc immédiate. En moins d’une demi-heure, le hashtag #EnriqueSlap est devenu viral, et la FIFA a rapidement annoncé l’ouverture d’une enquête urgente.

Mais l’affaire va bien au-delà du simple geste. Selon des sources proches de l’organisation, la FIFA a lancé une procédure d’enquête approfondie : collecte de vidéos des coulisses, enregistrements audio des micros de terrain, témoignages de joueurs et officiels. Tout est passé au peigne fin. Un haut responsable a confié : « Nous voulons comprendre le contexte exact, car il s’agit d’un événement mondial avec des standards éthiques stricts ».
Le PSG, pour sa part, reste silencieux. Aucune déclaration officielle n’a encore été faite, mais des rumeurs de tensions internes commencent à émerger. Certains journalistes évoquent une mésentente prolongée entre Luis Enrique et certaines recrues, notamment Joao Pedro, présenté comme le successeur de Mbappé.
La sanction à venir pourrait avoir des répercussions majeures. Une suspension prolongée de Luis Enrique remettrait en cause la stabilité du projet parisien, juste après une saison où le club avait remporté la Ligue des Champions et dominé la Ligue 1.
Le futur du PSG pourrait bien se jouer dans les prochains jours, en fonction du verdict de la FIFA. Une chose est sûre : cette gifle n’est pas un simple débordement d’émotion, mais peut-être le révélateur d’un mal plus profond au sein du vestiaire parisien.