đ§š Choc mondial : Luis Enrique écope de la sanction la plus lourde en cinq ans – La FIFA laisse entrevoir d’autres “agressions” prêtes à éclater !

Le monde du football est sous le choc. Ce vendredi matin, la FIFA a annoncé officiellement une suspension de 12 mois pour Luis Enrique, entraîneur du Paris Saint-Germain, après qu’une vidéo accablante a révélé une agression physique sur Joao Pedro, quelques minutes après la finale de la Coupe du Monde des Clubs. L’Espagnol aurait asséné une gifle au jeune attaquant dans la zone mixte, un geste capté par les caméras de médias brésiliens.

C’est la sanction la plus sévère infligée à un entraîneur depuis l’affaire Jorge Sampaoli en 2019. Luis Enrique ne pourra pas diriger le PSG lors de matchs officiels, assister aux entraînements ni intervenir publiquement au nom du club pendant toute la saison 2025-2026.

Mais au-delà de la suspension elle-même, c’est la dernière phrase du communiqué de la FIFA qui a glacé le sang des dirigeants parisiens :
« Une enquête complémentaire est ouverte afin de déterminer l’existence possible de comportements similaires envers d’autres membres de l’effectif. »
Selon L’Équipe et Le Parisien, plusieurs joueurs auraient déjà émis des plaintes informelles depuis des mois sur des méthodes “agressives et dégradantes” de la part de Luis Enrique. Rien n’avait été formalisé… jusqu’à la fuite de cette vidéo. Certains observateurs parlent désormais d’un “scandale structurel” et redoutent une vague de révélations en chaîne.
Le PSG, pour sa part, n’a émis aucun commentaire officiel. En interne, le silence est pesant. Les supporters, eux, ne retiennent plus leur colère. Sur X (ex-Twitter), les hashtags #LuisEnriqueSuspendu et #CrisisEnElPSG dominent les tendances mondiales. De nombreuses voix réclament la révocation immédiate du coach.
Cette affaire pourrait bien marquer la fin brutale de l’ère Luis Enrique à Paris, avant même qu’elle n’ait réellement commencé. Et si la FIFA découvre d’autres incidents similaires, le PSG pourrait se retrouver au cœur du plus grand scandale disciplinaire de son histoire moderne.
Une chose est sûre : le calme n’est plus qu’un souvenir au Camp des Loges.