đš NOUVEL ÉLÉMENT DÉVOILÉ : Un témoin affirme que Jota « roulait lentement » – La communauté s’interroge : « Et si quelqu’un nous cachait encore quelque chose ? »

Un nouveau témoignage jette le trouble sur la version officielle de l’accident tragique qui a coûté la vie à Diogo Jota et son frère André Silva le 3 juillet dernier sur l’autoroute A-52 en Espagne. Alors que les premières conclusions de la Guardia Civil espagnole pointaient un excès de vitesse comme cause probable, deux chauffeurs portugais viennent de livrer un récit radicalement opposé.

José Aleixo Duarte, routier expérimenté, a affirmé ce jeudi qu’il avait été dépassé par la Lamborghini Huracan de Jota quelques minutes avant l’accident : « La voiture roulait à une allure tout à fait normale. Je n’ai perçu aucun comportement dangereux. » Ce témoignage contredit directement le rapport technique initial de la police espagnole, qui évoquait une vitesse excessive ayant entraîné la perte de contrôle du véhicule.

Un second témoin, José Azevedo, qui a filmé les premières images de la voiture en flammes, soutient lui aussi que la conduite de Jota ne présentait aucun signe d’imprudence. « Ils m’ont dépassé calmement. Je n’ai rien vu d’alarmant, ni accélération soudaine, ni manœuvre risquée », a-t-il insisté dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.
Ces déclarations ont provoqué une vague d’émotion sur Internet. Sur X (anciennement Twitter), les réactions fusent : « On nous cache encore quelque chose ? », « Il est temps que la lumière soit faite », ou encore « Justice pour Jota ! » Des milliers de fans, choqués, exigent désormais la réouverture de l’enquête.
La famille de Jota, profondément endeuillée, n’a pas encore commenté publiquement ces nouveaux éléments, mais son entourage demande le respect et la transparence dans le traitement du dossier. De son côté, la Guardia Civil a indiqué qu’elle ne ferait aucune déclaration supplémentaire tant que l’analyse complète des données techniques et des témoignages ne serait pas finalisée.
L’affaire Diogo Jota, loin d’être close, entre désormais dans une nouvelle phase : celle des doutes, des questions sans réponses… et d’une vérité que tout un pays espère enfin voir éclater.