🔥 Changement de destin : David Alaba renaît au Real Madrid sous Xabi Alonso

Le football réserve parfois des retournements inattendus. David Alaba, longtemps considéré comme sur le déclin au Real Madrid, connaît une seconde vie surprenante grâce à un choix audacieux de Xabi Alonso. L’entraîneur basque, fraîchement nommé à la tête des Merengue, a pris tout le monde à contre-pied en repositionnant l’Autrichien… en milieu défensif.

À 33 ans, Alaba semblait condamné à un rôle de remplaçant de luxe. Barré en défense centrale par Rüdiger, Militão ou encore Huijsen, freiné par des blessures à répétition, son avenir au Bernabéu paraissait scellé. Et pourtant, au lieu de pousser la porte de sortie, il a saisi l’opportunité inattendue offerte par son nouvel entraîneur.

Face à un manque criant d’options derrière Tchouaméni – Kroos et Modrić partis, Camavinga et Valverde trop box-to-box – Alonso a tenté un pari osé : transformer Alaba en sentinelle. Le résultat ? Plus qu’un simple dépannage, cette réorientation tactique est en passe de devenir un élément central du système madrilène.

Doté d’une excellente vision du jeu, d’un jeu de passes précis et d’une grande intelligence tactique, l’ancien joueur du Bayern Munich avait déjà prouvé par le passé sa polyvalence. Milieu, latéral, défenseur central : il a tout connu. Mais ce rôle de numéro 6 pourrait bien être celui de la rédemption.

Dans le vestiaire, cette décision est bien accueillie. Ses coéquipiers saluent sa maturité, son leadership et son implication dans ce nouveau rôle. Xabi Alonso, lui-même ancien maître du milieu, semble avoir trouvé là un relais idéal sur le terrain.

Son contrat expire en juin prochain. Ironie du sort : ce qui aurait pu être sa dernière saison en blanc s’annonce désormais comme une page à écrire avec panache. Si cette mutation réussit, Alaba ne sera plus simplement un vétéran en fin de course, mais un symbole de résilience et de réinvention.

Au Real Madrid, l’histoire n’est jamais écrite d’avance. Et David Alaba est bien décidé à en signer un dernier chapitre… en lettres majuscules.