🕒 12 MINUTES AVANT LE DRAME : L’enregistrement final de Jota avec T4g0r révèle un adieu glaçant – Les fans sont sous le choc, la police y voit “la clé de l’affaire” !

Le monde du football est encore sous le choc après le tragique accident qui a coûté la vie à Diogo Jota et à son frère André Silva le 3 juillet dernier, en Espagne. Alors que les hommages affluent de toute part, un élément inédit vient relancer l’émotion… et l’enquête.

Selon les informations dévoilées ce 7 juillet, les enquêteurs ont extrait les données du téléphone portable de Jota, retrouvé partiellement endommagé sur les lieux du drame. Parmi les fichiers récupérés : un enregistrement audio d’un appel passé seulement 12 minutes avant l’accident, avec T4g0r, célèbre streamer FIFA et ami proche du joueur portugais.

Ce qui ne devait être qu’un échange amical d’encouragement avant un tournoi eSport s’est rapidement transformé en conversation troublante, aux allures de pressentiment morbide. Dans cet enregistrement d’environ trois minutes, Jota évoque à plusieurs reprises un « mauvais pressentiment », puis glisse une phrase glaçante :
« Je ne sais pas si on se reverra… »

Cette phrase, désormais virale, bouleverse les fans et interroge la police espagnole. Certains officiers de la Garde civile, cités anonymement, parlent de “piste psychologique” pouvant éclairer le comportement du joueur au moment de l’accident. D’autres évoquent la possibilité que Jota ait perçu un défaut technique sur le véhicule avant la collision – une Lamborghini qui roulait à vive allure.

Les réseaux sociaux s’enflamment : nombreux sont ceux qui demandent pourquoi ces “signes avant-coureurs” n’ont pas été pris au sérieux. Les communautés footballistiques et eSport rendent hommage au joueur avec le hashtag #JotaPourToujours, tandis que certains fans appellent à une enquête plus approfondie sur la voiture et la gestion de la pression mentale dans le sport de haut niveau.

Dans l’attente de résultats définitifs de l’autopsie mécanique et du rapport technique, cet enregistrement devient une pièce centrale de l’enquête, mais aussi un symbole déchirant d’une tragédie annoncée trop tard.