C’est un véritable séisme qui secoue le Paris Saint-Germain. Luis Enrique, entraîneur du club parisien, est au cœur d’un scandale majeur après avoir frappé violemment au visage le jeune joueur Joao Pedro lors d’une séance d’entraînement sous haute tension. L’incident, d’une rare gravité, pourrait valoir à l’Espagnol une sanction jamais vue dans l’histoire du football moderne, avec une suspension à vie désormais envisagée par les instances.
Les faits se sont déroulés au Camp des Loges, dans une ambiance déjà alourdie par la cuisante défaite 3-0 face à Chelsea en finale de la Coupe du Monde des Clubs. L’équipe est sous pression, et le vestiaire, fragilisé par les critiques publiques du capitaine Marquinhos contre deux joueurs non nommés, semblait au bord de l’implosion.

Selon plusieurs témoins présents, la tension aurait atteint son paroxysme lorsqu’un échange verbal virulent a éclaté entre Luis Enrique et Joao Pedro, jeune talent aussi prometteur qu’imprévisible. Ce dernier, apparemment provocateur lors de l’exercice, aurait déclenché la colère noire du coach, qui a alors perdu tout contrôle et asséné un coup de poing à son joueur, sous les yeux médusés du staff et des coéquipiers.
Le choc est immédiat. Joao Pedro, visiblement traumatisé, a été pris en charge par le staff médical tandis que les dirigeants du club se réunissaient en urgence. Une enquête interne a été ouverte dans la foulée, et la Fédération Française de Football ainsi que l’UEFA ont été saisies. Le comportement de Luis Enrique, considéré comme « gravissime » par plusieurs experts, pourrait déboucher sur une radiation définitive de toute fonction officielle, une première à ce niveau dans le football européen.
Côté club, c’est la panique. Nasser al-Khelaïfi, pris de court, a évité les médias mais aurait entamé des discussions en coulisses avec deux anciens visages familiers du club : Zinedine Zidane et Mauricio Pochettino, dont les noms circulent avec insistance comme potentiels remplaçants.
Le PSG, déjà en crise sportive et miné par des tensions internes, se retrouve désormais au bord d’un gouffre institutionnel. L’entraîneur, considéré jusqu’ici comme la pierre angulaire du nouveau projet parisien, risque de tout perdre à cause d’un geste irréfléchi. Le vestiaire, quant à lui, est divisé : certains joueurs défendent l’engagement de leur coach, d’autres se disent choqués et réclament des sanctions exemplaires.
Joao Pedro, de son côté, n’a pas encore pris la parole publiquement. Mais son entourage évoque un joueur « profondément choqué, humilié et blessé psychologiquement », laissant planer le doute sur une possible rupture de contrat ou même des poursuites judiciaires.
Dans les médias et sur les réseaux sociaux, l’affaire enflamme les débats. Beaucoup dénoncent un PSG hors de contrôle, incapable de gérer ses hommes et son image. D’autres pointent du doigt l’UEFA, accusée d’acharnement potentiel envers le club français. Mais une chose est certaine : ce scandale vient s’ajouter à une série noire pour Paris, qui semble incapable de construire une stabilité durable.
Le PSG a désormais quelques jours pour décider : maintenir un entraîneur en sursis absolu ou enclencher une nouvelle ère… dans l’urgence et le chaos. Le football français, lui, retient son souffle, tandis que Luis Enrique joue peut-être les dernières heures de sa carrière sur une ligne de plus en plus fine entre passion, autorité… et violence.