Paris, 8 mai 2025 – Un tremblement de terre secoue la planète football. Lors d’une interview exclusive diffusée hier soir sur la chaîne internationale FIFA+, le président de la FIFA, Gianni Infantino, a lâché une bombe : “Si Dembélé accomplit une mission précise d’ici la fin de l’année, il deviendra le Ballon d’Or 2025, même sans remporter la Ligue des Champions.”

Une déclaration qui n’a pas tardé à enflammer les réseaux sociaux, les plateaux télévisés et les coulisses des clubs européens. Mais quelle est donc cette mission ? Selon plusieurs sources proches du dossier, il s’agirait d’une performance exceptionnelle lors de l’Euro 2024 avec l’Équipe de France, combinée à un leadership irréprochable au PSG sur les derniers mois de la saison.

En d’autres termes : devenir l’homme providentiel d’une génération, au-delà des statistiques habituelles. Infantino aurait même confié en off que “le Ballon d’Or doit parfois récompenser plus qu’un titre collectif : il peut couronner une influence, une aura, un impact global.”
Du côté du PSG, l’annonce a été accueillie avec fierté mais aussi prudence. “Dembélé est un joueur exceptionnel, il mérite chaque reconnaissance. Mais la priorité reste les titres collectifs,” a déclaré Luis Enrique, son entraîneur.
Chez les fans, les avis sont partagés. Pour certains, c’est la reconnaissance méritée d’un joueur souvent sous-estimé. Pour d’autres, c’est une manœuvre politique de la FIFA pour orienter le débat et rééquilibrer les forces en faveur de la Ligue 1.
À Madrid, Manchester ou Munich, on grince des dents. Car si Dembélé peut gagner le Ballon d’Or sans Champions League, qu’en est-il de Jude Bellingham, Vinícius Jr. ou encore Haaland ? La guerre du prestige est plus vive que jamais.
Une chose est sûre : la course au Ballon d’Or 2025 vient de changer de visage. Et au centre de cette nouvelle ère, se dresse l’ombre déterminée d’un homme : Ousmane Dembélé.