🔥 COUP DE TONNERRE AU BERNABÉU ! Trent Alexander-Arnold pensait ouvrir un nouveau chapitre doré de sa carrière en rejoignant le Real Madrid… mais à peine deux journées de Liga, le rêve a déjà pris une tournure inquiétante. Dimanche soir, face à l’Oviedo (3-0), l’Anglais a dû se contenter d’un rôle de figurant, entré à la 87e minute, sous les regards glacials du Bernabéu.
Le coup est dur à encaisser : Xabi Alonso, pour sa première grande décision stratégique de la saison, a choisi d’aligner Dani Carvajal dès le coup d’envoi. Et le capitaine madrilène, enfin de retour à 100% après sa longue blessure au genou, n’a pas tremblé. Solide, inspiré, parfois même flamboyant, Carvajal a rappelé à tout le monde pourquoi il est une légende vivante du club.
Dans les couloirs du vestiaire, les rumeurs s’enflamment. Selon The Athletic, plusieurs proches de Carvajal assurent qu’il a déjà convaincu Alonso de lui confier la place de titulaire indiscutable cette saison. « Dani est plus qu’un simple joueur, il est l’âme du vestiaire », aurait confié un membre du staff technique.
Alexander-Arnold, lui, vit un cauchemar éveillé. Le joueur formé à Liverpool, transféré avec grand bruit pour incarner l’avenir du poste, se retrouve déjà sous une pression énorme. L’Espagnol Rodrygo, repositionné en faux piston droit par Alonso, a brillé dans un rôle hybride… renforçant l’impression que l’ancien Red risque de devenir un simple “joker de luxe”.
Après le match, Alonso a tenté de calmer les débats devant la presse :
« Nous avons plus de vingt joueurs dans l’effectif, chacun aura son rôle. Parfois ils seront titulaires, parfois remplaçants, mais ils resteront essentiels. »
Mais en privé, selon une indiscrétion relayée par la presse madrilène, le coach aurait été beaucoup plus tranchant. Face à Alexander-Arnold, il aurait lâché cette phrase glaçante :
« Au Real, on ne gagne pas sa place avec son nom, mais avec son attitude. »
Des mots qui auraient fait l’effet d’un coup de tonnerre dans le vestiaire. Certains coéquipiers parlent même d’un moment charnière, où le ton ferme d’Alonso a fait comprendre à Arnold qu’il n’est plus la star intouchable de Liverpool, mais un soldat parmi d’autres dans la maison blanche.
La situation devient encore plus tendue quand on sait que le calendrier s’annonce infernal : Supercoupe, Coupe du Roi, Ligue des Champions… chaque choix d’Alonso pèsera lourd. Et si Carvajal poursuit sur cette lancée, Arnold pourrait bien voir sa première saison madrilène se transformer en véritable chemin de croix.
👉 Une chose est sûre : à Madrid, rien n’est jamais acquis, et le duel Carvajal – Alexander-Arnold promet déjà d’être l’un des feuilletons les plus explosifs de la saison.