Le feuilleton Vitinha vient de franchir un nouveau cap et s’annonce déjà comme l’un des plus gros scandales du football européen. Selon des informations révélées par plusieurs médias portugais et allemands, le Bayern Munich aurait discrètement conclu un accord préliminaire avec le milieu de terrain du PSG à Zurich, en marge de la Supercoupe d’Europe. Une rencontre secrète, tenue dans un palace suisse, où les dirigeants bavarois auraient proposé à Vitinha un contrat vertigineux : un salaire triplé par rapport à ce qu’il perçoit actuellement à Paris.

Ce qui semblait être une simple rumeur a pris une ampleur considérable lorsque des documents, qualifiés de “notes confidentielles” par la presse, ont commencé à circuler sur les réseaux sociaux. On y verrait les signatures de représentants du Bayern et de l’entourage proche du joueur portugais. Bien que leur authenticité n’ait pas été confirmée, ces fuites ont suffi à déclencher un véritable séisme dans les couloirs du Parc des Princes.
Nasser Al-Khelaïfi, informé de ces tractations en marge de la victoire du PSG en Supercoupe, serait entré dans une colère noire. Le président parisien aurait immédiatement convoqué son état-major et les avocats du club pour étudier une plainte officielle auprès de l’UEFA. Selon une source proche du dossier, Al-Khelaïfi aurait même déclaré : « C’est une atteinte directe à l’intégrité du football. Nous irons jusqu’au bout pour que justice soit faite. »
Du côté allemand, le silence est total. Le Bayern refuse pour l’instant de commenter, mais la presse de Munich affirme qu’une réunion d’urgence a eu lieu au siège du club, avec la présence de Thomas Tuchel et d’Herbert Hainer. Le club bavarois se trouverait dans une situation délicate : nier en bloc au risque de se mettre en contradiction avec les documents fuités, ou admettre un contact officieux et s’exposer à de lourdes sanctions.
À Paris, l’affaire prend des airs de trahison. Certains coéquipiers de Vitinha auraient mal réagi en découvrant ces informations, voyant dans son attitude un manque de loyauté envers le projet parisien. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #VitinhaGate est rapidement devenu viral, déclenchant un torrent de réactions partagées entre indignation et fascination.
Les supporters parisiens, en majorité, exigent une position ferme. “Enfin, qu’on se fasse respecter en Europe !” écrit un internaute. “S’ils veulent notre joueur, qu’ils viennent avec 200 millions d’euros et pas avec des manœuvres de l’ombre”, renchérit un autre. Du côté des supporters bavarois, c’est l’enthousiasme qui domine : “Vitinha est la pièce manquante, et si Paris ne veut pas vendre, nous irons jusqu’au bout pour l’avoir.”
Cette affaire rappelle d’autres scandales célèbres dans le monde du football, comme celui de l’approche illégale du Real Madrid envers Mbappé en 2021, ou les manœuvres de Barcelone pour recruter Neymar à l’époque. Mais cette fois, la dimension semble plus explosive encore, car elle met en confrontation directe deux des institutions les plus puissantes d’Europe, avec l’UEFA placée dans une position délicate.
Pour Vitinha, la situation devient intenable. Le joueur portugais, jusqu’ici discret et apprécié par ses coéquipiers, se retrouve désormais sous les projecteurs. Certains médias affirment qu’il aurait confié à ses proches son admiration pour la Bundesliga et sa volonté de jouer sous les ordres de Tuchel, tandis que d’autres assurent qu’il reste loyal au PSG et qu’il n’a jamais signé aucun document.
La vérité, pour l’instant, reste floue. Mais une certitude domine : ce feuilleton ne fait que commencer. Entre menaces de plaintes, documents fuités et accusations de “trahison”, le #VitinhaGate pourrait bien devenir la saga la plus suivie de l’été, et peut-être même l’un des procès sportifs les plus retentissants de la décennie.
Une chose est sûre : si l’UEFA décide d’ouvrir une enquête officielle, les conséquences pourraient être catastrophiques pour le Bayern Munich, et PSG entend bien aller jusqu’au bout pour obtenir réparation.