Ce qui n’était au départ qu’une rumeur chuchotée dans les couloirs du Parc des Princes s’est transformé en une véritable bombe médiatique. D’après des sources concordantes, Achraf Hakimi, pilier de la défense parisienne, aurait été contrôlé positif lors d’un test antidopage effectué après une rencontre de Ligue des Champions. Le choc est immense : le PSG, en pleine reconstruction post-Mbappé, voit sa crédibilité de nouveau ébranlée par une affaire à très haut risque.

Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. L’onde de choc s’est amplifiée lorsqu’un joueur d’un club rival, Federico Dimarco de l’Inter Milan, a décidé de briser l’omerta. Lors d’un événement caritatif, le latéral italien a lancé une phrase qui fait froid dans le dos : « On le savait déjà… ». Une déclaration lourde de sous-entendus, qui laisse entendre que le cas Hakimi ne serait qu’un maillon d’un système bien plus vaste, peut-être même toléré en coulisses.

đ La FIFA enquête… mais dans le silence
Selon nos informations, la FIFA aurait ouvert une enquête confidentielle depuis plusieurs semaines, bien avant que l’affaire n’éclate dans les médias. Des sources proches du dossier parlent même d’une “liste noire” de joueurs de Ligue 1 et de Serie A suspectés d’avoir recours à des substances interdites. Cette liste, pour l’instant gardée secrète, pourrait inclure d’autres stars du PSG et de clubs européens majeurs.

Plus inquiétant encore : des documents internes indiqueraient que certains dirigeants du PSG auraient tenté de retarder la divulgation des résultats des tests. Des avocats spécialisés en gestion de crise auraient même été engagés dès les premiers soupçons. Un écran de fumée organisé pour protéger l’institution ? Le doute plane.
â ïž Le vestiaire parisien en état d’alerte
En interne, le vestiaire du PSG serait en ébullition. Plusieurs cadres de l’équipe auraient exprimé leur colère et leur sentiment de trahison, certains évoquant un “manque total de transparence”. L’ambiance se serait fortement dégradée lors des dernières séances d’entraînement, avec des échanges tendus entre joueurs.
Certains jeunes du groupe professionnel, récemment promus, s’interrogent déjà sur la manière dont les affaires sont gérées en coulisses. « On nous demande d’être irréprochables, mais on nous cache la vérité », aurait confié anonymement un joueur du centre de formation.
đ Un système corrompu ? Ou des fautes individuelles ?
Au-delà du cas Hakimi, une question dérangeante s’impose : cette affaire révèle-t-elle des fautes individuelles… ou les failles d’un système entier gangrené par la pression du résultat ? Dimarco, en évoquant des pratiques “connues de tous”, semble pointer une complicité tacite, voire un laxisme structurel au sein du football professionnel.
La FIFA, pressée par les médias et les supporters, devrait s’exprimer dans les prochains jours. Selon le code mondial antidopage, Hakimi risque jusqu’à 4 ans de suspension si la substance retrouvée est considérée comme dopante sans justification médicale. Un coup dur pour le PSG, déjà en difficulté après une saison en dents de scie.
đź Et maintenant ?
L’affaire Hakimi pourrait bien être le premier domino d’une série de révélations plus graves encore. Les prochains jours s’annoncent décisifs. Si la “liste noire” est confirmée et révélée, c’est l’ensemble du football européen qui pourrait être secoué jusqu’à ses fondations. Une chose est sûre : au Parc des Princes, plus rien ne sera jamais comme avant.