Carvajal accuse Pedri après la défaite face au Portugal : La Roja au bord de l’implosion ?
C’est une scène à peine croyable qui s’est déroulée après la finale de la Nations League entre l’Espagne et le Portugal. Battue 2-1 dans un match tendu jusqu’à la dernière minute, la Roja n’a pas seulement perdu un trophée : elle semble avoir perdu son unité.

Au centre de la polémique : Dani Carvajal, défenseur du Real Madrid, qui a publiquement accusé Pedri, jeune milieu du FC Barcelone, d’être le principal responsable de la défaite espagnole. Selon les propos rapportés par des journalistes présents dans la zone mixte, Carvajal aurait déclaré :

« Toute la responsabilité est sur lui. On ne peut pas se permettre d’avoir ce genre de joueurs dans des matchs décisifs. »
Un tacle verbal d’une rare violence, d’autant plus choquant qu’il vise un coéquipier – et pas n’importe lequel : Pedri, considéré comme l’un des talents les plus prometteurs du football espagnol.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Lorsqu’un journaliste a demandé au sélectionneur Luis de la Fuente ce qu’il pensait de cette sortie médiatique de Carvajal, l’entraîneur a simplement répondu avec neuf mots, froids et cinglants :
« Celui qui divise n’a pas sa place ici. »
Une phrase qui, selon plusieurs sources internes, aurait glacé l’ambiance dans le vestiaire espagnol. Certains joueurs auraient même quitté le stade sans adresser un mot à leurs coéquipiers.
Ce clash soulève une série de questions : Carvajal agit-il seul, ou exprime-t-il un malaise plus profond dans le vestiaire ? Y a-t-il un clivage latent entre les joueurs du Real Madrid et ceux du FC Barcelone ? Et surtout : quel sera l’avenir de Pedri sous le maillot national, après un tel lynchage public ?
Des rumeurs évoquent une réunion d’urgence entre le staff technique et les cadres de l’équipe pour apaiser les tensions. Mais le mal semble déjà fait : l’image d’une Espagne unie et conquérante a volé en éclats.
Une chose est sûre : la défaite face au Portugal n’est peut-être que la partie visible de l’iceberg. L’Espagne devra vite recoller les morceaux, sous peine de sombrer à l’approche des prochaines compétitions internationales.