💣 Le Barça verrouille Lamine Yamal avec un contrat d’un milliard d’euros : un pacte dicté par la peur ?
C’est un coup de tonnerre venu tout droit de Catalogne : le FC Barcelone vient de sécuriser l’avenir de Lamine Yamal avec un contrat d’une valeur astronomique d’un milliard d’euros. À seulement 18 ans, celui que les fans surnomment déjà « le génie du siècle » devient intouchable, même pour les clubs les plus riches du monde. Mais derrière cette décision spectaculaire, se cache une véritable angoisse au sein du club. Une peur viscérale qui n’a que très peu à voir avec le terrain…

Selon des sources proches du vestiaire, le Barça aurait été profondément marqué par les départs successifs de Messi et Neymar, ainsi que par l’intérêt croissant du monde arabe pour les jeunes talents européens. Le traumatisme de voir leurs joyaux partir sans pouvoir les retenir hante toujours les dirigeants. Et Yamal, comparé déjà à Messi et Ronaldo dans certains aspects de son jeu, cristallise à lui seul tous les espoirs — et toutes les craintes.

Mais ce n’est pas tout. Un détail glaçant vient de fuiter : un certain agent très influent dans les transferts de stars au Moyen-Orient aurait approché discrètement l’entourage du joueur. La direction du Barça, informée à la dernière minute, aurait convoqué une réunion d’urgence à la Ciutat Esportiva. En moins de 3 heures, un accord inédit a été finalisé, avec une clause libératoire à 10 chiffres jamais vue auparavant.

Le président Joan Laporta, d’abord réticent à « céder à la panique », aurait finalement cédé après un mystérieux appel téléphonique venu de Doha, selon certains médias espagnols. À l’intérieur du club, les avis sont partagés : certains y voient un acte de foi pour préserver l’ADN de la Masia, d’autres une décision précipitée dictée par la peur de perdre la dernière pépite avant même son apogée.
Le plus troublant dans l’affaire ? Personne ne sait exactement quelles garanties réelles ont été obtenues en échange de ce pacte hors norme. Yamal reste un adolescent, talentueux certes, mais encore en construction. Alors, ce contrat d’un milliard est-il un chef-d’œuvre de stratégie ou un pari fou motivé par une psychose interne ?