🎉 Une ambiance de fête à Séoul… mais une ombre dans le regard de Balde
L’euphorie était à son comble dans le quartier de Seoungsu-dong à Séoul ce vendredi. Pour la première fois depuis 15 ans, le FC Barcelone foulait à nouveau le sol sud-coréen. À l’occasion d’un événement exclusif organisé par Nike, des centaines de fans vêtus de blaugrana se sont massés autour du Nike Store pour apercevoir leurs idoles : Gavi, Frenkie de Jong, Marcus Rashford, Alejandro Balde et l’entraîneur Hansi Flick.

La scène ressemblait à un mini-Camp Nou déplacé en Asie : cris, chants, selfies, et émotion pure. Gavi s’est montré énergique et complice avec les fans. De Jong, fidèle à lui-même, affichait une sérénité rayonnante. Rashford, bien que nouveau dans l’univers blaugrana, semblait déjà adopté. Tous ont participé à un « street football challenge » endiablé, sélectionnant eux-mêmes leurs équipes locales pour un tournoi en 1 contre 1. L’ambiance était électrique, les sourires sincères… du moins, pour la plupart.

Car un détail n’a échappé ni aux journalistes présents, ni aux fans les plus attentifs : Alejandro Balde, pourtant l’un des jeunes visages les plus prometteurs du club, est resté étonnamment discret tout au long de l’événement.
Pas de grandes interactions. Pas de blagues échangées. Pas même un réel engagement lors de la compétition. Alors que son équipe a été éliminée en demi-finale par celle de Gavi, Balde n’a pas montré la moindre réaction. Un contraste frappant avec ses apparitions habituelles pleines de vivacité.
Selon des sources proches du staff, une décision en coulisse aurait profondément affecté le jeune latéral gauche : lors de la répartition des rôles pour l’événement, Balde aurait espéré représenter le club dans un cadre plus central… avant d’être relégué à un rôle plus passif au profit de Rashford, récemment arrivé.
Faut-il y voir un simple malentendu organisationnel ou le début d’un déséquilibre dans la hiérarchie interne ? La question reste ouverte, mais cet épisode soulève des interrogations sur la gestion de certains talents issus de La Masia à l’ère Flick.
Une chose est sûre : derrière les sourires de façade, certaines tensions commencent à poindre. Et si cette tournée asiatique révélait plus qu’un simple lien entre club et supporters ?
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